D’après «Bes Bi», l’ONG souligne également que la grande majorité des défunts ne sont jamais retrouvés. «Les corps non localisés sont à 91,42%. Ce qui a un impact terrible pour leurs familles et leurs communautés d’origine, en raison de l’impossibilité de faire un deuil complet et des implications juridiques et psychologiques», note le rapport.
Malgré ce décompte macabre, Caminando Fronteras précise que ces chiffres sont en nette diminution par rapport à l’année précédente, où 4 639 migrants sont morts.
Malgré ce décompte macabre, Caminando Fronteras précise que ces chiffres sont en nette diminution par rapport à l’année précédente, où 4 639 migrants sont morts.