Parmi les entités épinglées, figurent notamment l’Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance (Anrac), l’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie), l’Agence sénégalaise pour la propriété industrielle et l’innovation technologique (Aspit) et l’Agence nationale d'insertion et de développement agricole (Anida).
Des manquements qui, selon Macky Sall, s’expliquent par le caractère « évanescent voire inexistant » du contrôle qui aurait dû s’exercer. Pour y remédier, il invite à une réforme pour une implication des tutelles techniques dans le fonctionnement des agences afin de permettre aux conseils d’orientation ou de surveillance de vérifier la pertinence de leurs missions, sans toutefois s’impliquer dans la gestion quotidienne.
Faire l’inventaire
des comités de suivi

« L’exemple typique de mal gouvernance, c’est la Commission de suivi des engagements réciproques de l’Etat et du repreneur de la Suneor qui, en dix ans, n’a fait l’objet que d’une séance de travail », souligne Macky Sall.
Par conséquent, il demande un inventaire exhaustif de la fonctionnalité des comités de suivi prévus dans le cadre d’opérations de cession du portefeuille de l’Etat et de conventions de partenariats ainsi que de délégation de gestion du service public.
Pour mieux assainir les conventions signées ça et là , les mémorandums d’entente, l’Etat a décidé de les centraliser tous à l’Agence de promotion des investissements et des grands travaux (Apix) pour remédier à la disparité et à l’iniquité des projets en défaveur de l’Etat.
Le président de la République invite également le Premier ministre à prendre toutes les dispositions utiles afin que la Commission d’évaluation des agences d’exécution exerce, de manière effective, la plénitude des prérogatives qui lui sont dévolues. Ladite commission devra notamment faire un compte-rendu régulier de ses activités.
De même, les ministres doivent rigoureusement veiller à l’exercice de leur pouvoir de tutelle sur les entreprises du secteur parapublic et les agences d’exécution. «
Ces entités, parce qu’elles engagent des ressources publiques, ne sauraient, en aucune façon, être soustraites à l’exercice de la tutelle », rappelle Macky Sall, ferme.
Le Soleil
Des manquements qui, selon Macky Sall, s’expliquent par le caractère « évanescent voire inexistant » du contrôle qui aurait dû s’exercer. Pour y remédier, il invite à une réforme pour une implication des tutelles techniques dans le fonctionnement des agences afin de permettre aux conseils d’orientation ou de surveillance de vérifier la pertinence de leurs missions, sans toutefois s’impliquer dans la gestion quotidienne.
Faire l’inventaire
des comités de suivi

« L’exemple typique de mal gouvernance, c’est la Commission de suivi des engagements réciproques de l’Etat et du repreneur de la Suneor qui, en dix ans, n’a fait l’objet que d’une séance de travail », souligne Macky Sall.
Par conséquent, il demande un inventaire exhaustif de la fonctionnalité des comités de suivi prévus dans le cadre d’opérations de cession du portefeuille de l’Etat et de conventions de partenariats ainsi que de délégation de gestion du service public.
Pour mieux assainir les conventions signées ça et là , les mémorandums d’entente, l’Etat a décidé de les centraliser tous à l’Agence de promotion des investissements et des grands travaux (Apix) pour remédier à la disparité et à l’iniquité des projets en défaveur de l’Etat.
Le président de la République invite également le Premier ministre à prendre toutes les dispositions utiles afin que la Commission d’évaluation des agences d’exécution exerce, de manière effective, la plénitude des prérogatives qui lui sont dévolues. Ladite commission devra notamment faire un compte-rendu régulier de ses activités.
De même, les ministres doivent rigoureusement veiller à l’exercice de leur pouvoir de tutelle sur les entreprises du secteur parapublic et les agences d’exécution. «
Ces entités, parce qu’elles engagent des ressources publiques, ne sauraient, en aucune façon, être soustraites à l’exercice de la tutelle », rappelle Macky Sall, ferme.
Le Soleil