Comment s’est comporté votre dernier album, «Maturité», sorti il y a quelques mois ?
L’album a répondu à toutes mes attentes et, grâce à Dieu, le label avec lequel je travaille est satisfait de l’accueil que lui ont réservé les mélomanes. Financièrement aussi, ça va. Je rends grâce à Dieu.
Dans cet album, vous avez fait du mbalakh, mais vous avez touché à d’autres sonorités, notamment, la salsa et le funk. Qu’est-ce qui motive cette ouverture ?
C’est une évolution naturelle. Je cherche toujours à faire plaisir à mes fans, mais j’aspire aussi à faire aimer ma musique à d’autres. Le choix d’un album diversifié, avec des sonorités différentes du mbalakh me permet d’attirer des gens d’autres horizons. C’est une idée de mon label, qui veut me faire connaitre au plan international.
Avez-vous prévu des tournées ?
Avec mon label, on prépare une tournée internationale. Nous avons aussi des projets pour le Sénégal. Si tous nos plans aboutissent, mes fans seront très contents.
Pourquoi avoir rompu avec Princ’Art ?
Mon contrat avec Princ’Art était arrivé à son terme, j’ai opté de signer avec mon label actuel pour booster ma carrière internationale. A la fin de ma collaboration avec Princ’art, j’ai bien réfléchi pour voir la meilleure option pour moi, parce que, comme tout travailleur, je souhaite évoluer dans ma carrière.
C’est vous qui êtes allée vers le label ou il est venu vers vous ?
C’est le label qui m’a contactée. Ses responsables ont fait des recherches et m’ont montré que mon travail les intéresse. Après mûre réflexion, j’ai accepté de signer un contrat avec eux. Toutefois, j’entretiens de bons rapports avec Princ’Art. C’est grâce à eux que j’ai pu sortir mon premier album, qui m’a révélée au public sénégalais. Youssou Ndour est mon papa et Ngoné Ndour, une grande sœur pour moi, alors il n’y a aucun problème entre nous.
«Je ne me dépigmente pas. J’ai juste changé de gamme de crème de peau. Ce n’est pas un crime.»
Récemment dans une interview, vous déploriez la jalousie et les coups bas dans le milieu du show biz. En avez-vous été une fois victime ?
Comme dans tous les métiers, il y a des obstacles, surtout au début. Avec le temps, on apprend à encaisser et à mieux réagir face aux difficultés. Quelles que soient les difficultés, je m’en remets toujours à Dieu, en sachant que la vie est ainsi faite. Ce ne sont pas les coups bas qui me feront baisser les bras. Le plus important, c’est qu’il y a des gens qui m’aiment bien.
Avant votre départ, vous étiez avec Titi à Princ’Art. D’aucuns disent que vos rapports sont exécrables. Qu’en est-il vraiment ?
Je n’ai aucun problème avec Titi, on a des rapports tout à fait paisibles. On s’est croisé sur un plateau de télévision, on a chanté ensemble et tout s’est bien passé. Ceux qui disent que nous avons des problèmes racontent n’importe quoi.
A vos débuts, vous étiez de teint noir. Aujourd’hui, vous avez la peau claire. Pourquoi ce changement ?
Je ne me dépigmente pas. J’ai juste changé de gamme de crème de peau. C’est un choix personnel et ce n’est pas un crime. Je n’ai jamais voulu changer la couleur de ma peau, juste que je veux avoir un beau teint.
A quand le remariage ?
Le jour où Dieu le décidera.
Avez-vous un prétendant ?
La musique est là (elle sourit).
Quel seront les qualités que devront avoir votre futur mari ?
Il devra être pieux et pouvoir me soutenir dans ma musique, parce que c’est ce que j’aime et c’est la seule chose que je connais depuis ma plus tendre enfance. Il devra aussi être un homme posé et patient, parce qu’avoir une artiste comme femme n’est pas chose simple.
Propos recueillis par
Christine MENDY
Photos : Amadou DÈME
L’album a répondu à toutes mes attentes et, grâce à Dieu, le label avec lequel je travaille est satisfait de l’accueil que lui ont réservé les mélomanes. Financièrement aussi, ça va. Je rends grâce à Dieu.
Dans cet album, vous avez fait du mbalakh, mais vous avez touché à d’autres sonorités, notamment, la salsa et le funk. Qu’est-ce qui motive cette ouverture ?
C’est une évolution naturelle. Je cherche toujours à faire plaisir à mes fans, mais j’aspire aussi à faire aimer ma musique à d’autres. Le choix d’un album diversifié, avec des sonorités différentes du mbalakh me permet d’attirer des gens d’autres horizons. C’est une idée de mon label, qui veut me faire connaitre au plan international.
Avez-vous prévu des tournées ?
Avec mon label, on prépare une tournée internationale. Nous avons aussi des projets pour le Sénégal. Si tous nos plans aboutissent, mes fans seront très contents.
Pourquoi avoir rompu avec Princ’Art ?
Mon contrat avec Princ’Art était arrivé à son terme, j’ai opté de signer avec mon label actuel pour booster ma carrière internationale. A la fin de ma collaboration avec Princ’art, j’ai bien réfléchi pour voir la meilleure option pour moi, parce que, comme tout travailleur, je souhaite évoluer dans ma carrière.
C’est vous qui êtes allée vers le label ou il est venu vers vous ?
C’est le label qui m’a contactée. Ses responsables ont fait des recherches et m’ont montré que mon travail les intéresse. Après mûre réflexion, j’ai accepté de signer un contrat avec eux. Toutefois, j’entretiens de bons rapports avec Princ’Art. C’est grâce à eux que j’ai pu sortir mon premier album, qui m’a révélée au public sénégalais. Youssou Ndour est mon papa et Ngoné Ndour, une grande sœur pour moi, alors il n’y a aucun problème entre nous.
«Je ne me dépigmente pas. J’ai juste changé de gamme de crème de peau. Ce n’est pas un crime.»
Récemment dans une interview, vous déploriez la jalousie et les coups bas dans le milieu du show biz. En avez-vous été une fois victime ?
Comme dans tous les métiers, il y a des obstacles, surtout au début. Avec le temps, on apprend à encaisser et à mieux réagir face aux difficultés. Quelles que soient les difficultés, je m’en remets toujours à Dieu, en sachant que la vie est ainsi faite. Ce ne sont pas les coups bas qui me feront baisser les bras. Le plus important, c’est qu’il y a des gens qui m’aiment bien.
Avant votre départ, vous étiez avec Titi à Princ’Art. D’aucuns disent que vos rapports sont exécrables. Qu’en est-il vraiment ?
Je n’ai aucun problème avec Titi, on a des rapports tout à fait paisibles. On s’est croisé sur un plateau de télévision, on a chanté ensemble et tout s’est bien passé. Ceux qui disent que nous avons des problèmes racontent n’importe quoi.
A vos débuts, vous étiez de teint noir. Aujourd’hui, vous avez la peau claire. Pourquoi ce changement ?
Je ne me dépigmente pas. J’ai juste changé de gamme de crème de peau. C’est un choix personnel et ce n’est pas un crime. Je n’ai jamais voulu changer la couleur de ma peau, juste que je veux avoir un beau teint.
A quand le remariage ?
Le jour où Dieu le décidera.
Avez-vous un prétendant ?
La musique est là (elle sourit).
Quel seront les qualités que devront avoir votre futur mari ?
Il devra être pieux et pouvoir me soutenir dans ma musique, parce que c’est ce que j’aime et c’est la seule chose que je connais depuis ma plus tendre enfance. Il devra aussi être un homme posé et patient, parce qu’avoir une artiste comme femme n’est pas chose simple.
Propos recueillis par
Christine MENDY
Photos : Amadou DÈME