La décision vient de la « haute autorité ». Elle devra être exécutée « sans faille » car « il y a urgence ». C'est ce qu'on peut lire dans un message du chef d’état-major général des FARDC, Célestin Mbala, adressé notamment aux commandants des différentes unités concernées. Il ne donne pas les raisons de cet ordre, qui a surpris plus d’un officier supérieur habitué à l’air frais du Mont-Ngaliema qui donne une vue imprenable sur le fleuve Congo.
Si certains parlent d’un « signe de méfiance » du président envers les hauts gradés - que son entourage assimile aux proches de l’ancien président - dans l’entourage du chef de l’État, on se limite à évoquer des « raisons sécuritaires » et « stratégiques », sans plus de détails.
Et on pointe que le Mont-Ngaliema est sur-militarisé. On y trouve le ministère de La Défense, mais aussi le QG de la garde Républicaine. Et Félix Tshisekedi et sa famille partagent la même colline, faute d’une résidence présidentielle officielle.
Selon un haut responsable administratif de l’état-major général, le QG de l'armée devrait être complètement évacué avant la fin de l’année. C’est désormais au camp militaire Kokolo, près du centre-ville, qu'il s’installera. Ce vaste camp est, depuis quelques années, l’un des coins malfamés de la capitale.
Si certains parlent d’un « signe de méfiance » du président envers les hauts gradés - que son entourage assimile aux proches de l’ancien président - dans l’entourage du chef de l’État, on se limite à évoquer des « raisons sécuritaires » et « stratégiques », sans plus de détails.
Et on pointe que le Mont-Ngaliema est sur-militarisé. On y trouve le ministère de La Défense, mais aussi le QG de la garde Républicaine. Et Félix Tshisekedi et sa famille partagent la même colline, faute d’une résidence présidentielle officielle.
Selon un haut responsable administratif de l’état-major général, le QG de l'armée devrait être complètement évacué avant la fin de l’année. C’est désormais au camp militaire Kokolo, près du centre-ville, qu'il s’installera. Ce vaste camp est, depuis quelques années, l’un des coins malfamés de la capitale.