La dame Maty Ndoye, accusée d’avoir voulu enlever des talibés au marché Gueule Tapée des Parcelles assainies a nié en bloc les faits qui lui sont reproché lors de son audition devant les policiers. Selon nos confrères du Populaire, la dame a expliqué qu’elle a été injuriée de mère par l’un des talibés qui lui a craché dessus et a même éraflé la peinture de sa voiture. Raison pour laquelle elle a utilisé sa bombe asphyxiante pour pulvériser les deux talibés qui l’agaçaient.
A l’en croire, c’est sur ces entrefaites qu’elle a été encerclée et traitée, par une foule, de voleuse d’enfants. La dame Ndoye a soutenu mordicus qu’elle a été accusée à tort par les femmes qui allaient au marché et qui ont ameuté les passants en affirmant qu’elle tentait d’enlever un jeune talibé.
Ainsi, elle a dénoncé le caillassage de son véhicule et ajouté que le pire allait se produire n’eût été l’intervention de la police.
Un témoin de l’incident a bien voulu donner sa version des faits. « J’ai vu le véhicule Renault Clio de couleur noire,conduit par une jeune dame, faire l’objet d’un tapage de la part d’un groupe de jeunes talibés et la conductrice s’est mise à parler avec ces derniers. J’ai voulu continuer mon chemin mais j’ai entendu des gens crier ‘elle l’a pompé, elle l’a pompé’ », raconte Assane Tine qui fait savoir que la dame a voulu démarrer aussitôt. Malheureusement pour elle, un camion, qui se trouvait devant elle, l’a empêchée de partir. D’ailleurs, fait-il savoir, c’est en ce moment que les gens ont commencé à accourir de partout en criant : « C’est une voleuse d’enfants armée d’une pompe, il faut l’arrêter ». Le sieur Tine de confier que n’eût été son intervention et celle du policier en faction au niveau du Rond-point Case-Bi, la dame aurait été lynchée.
Au terme de sa garde- à vue de 24 heures au commissariat des Parcelles Assainies, la dame Maty Ndoye a été finalement déférée au parquet pour usage de bombe anti-agression sans autorisation administrative en attendant son jugement.
A l’en croire, c’est sur ces entrefaites qu’elle a été encerclée et traitée, par une foule, de voleuse d’enfants. La dame Ndoye a soutenu mordicus qu’elle a été accusée à tort par les femmes qui allaient au marché et qui ont ameuté les passants en affirmant qu’elle tentait d’enlever un jeune talibé.
Ainsi, elle a dénoncé le caillassage de son véhicule et ajouté que le pire allait se produire n’eût été l’intervention de la police.
Un témoin de l’incident a bien voulu donner sa version des faits. « J’ai vu le véhicule Renault Clio de couleur noire,conduit par une jeune dame, faire l’objet d’un tapage de la part d’un groupe de jeunes talibés et la conductrice s’est mise à parler avec ces derniers. J’ai voulu continuer mon chemin mais j’ai entendu des gens crier ‘elle l’a pompé, elle l’a pompé’ », raconte Assane Tine qui fait savoir que la dame a voulu démarrer aussitôt. Malheureusement pour elle, un camion, qui se trouvait devant elle, l’a empêchée de partir. D’ailleurs, fait-il savoir, c’est en ce moment que les gens ont commencé à accourir de partout en criant : « C’est une voleuse d’enfants armée d’une pompe, il faut l’arrêter ». Le sieur Tine de confier que n’eût été son intervention et celle du policier en faction au niveau du Rond-point Case-Bi, la dame aurait été lynchée.
Au terme de sa garde- à vue de 24 heures au commissariat des Parcelles Assainies, la dame Maty Ndoye a été finalement déférée au parquet pour usage de bombe anti-agression sans autorisation administrative en attendant son jugement.