Adja Diallo, le célèbre mannequin, se dit victime d’un lynchage médiatique depuis le décès de son amie Maty Mbodji. Sur la sellette depuis la disparition, dans des conditions troubles de cette dernière, mannequin comme elle, et convoquée pour audition dans le cadre de cette affaire où elle semble être un témoin clef, Adja Diallo dit n’en plus pouvoir. Le dernier papier de notre confrère L’Observateur la « faisant défiler sur un podium de drames » du 03 août est, selon son avocat, Me Mbaye Jacques Ndiaye « l’ultime acte de lynchage médiatique » dont elle ferait l’objet. Depuis Paris, l’avocat indique que « Mme Adja Diallo dont je suis le conseil habituel, est particulièrement meurtrie par certains articles de presse parus après la disparition de son amie pour qui elle pleure encore (sic !), et présentant des relents de lynchage orchestré délibérément ».
L’avocat ajoute qu’ « il faudrait s’en offusquer, et pour cause ! Ma cliente qui ne s’explique guère les raisons d’un tel acharnement sur sa personne, exprime ici, afin que nul n’ignore sa désolation et son amertume, sa volonté de protéger la mémoire de ses parents décédés, l’honneur de son enfant et sa considération. S’il est vrai que le rôle de la presse consiste à informer, cette fonction est sous tendue par le devoir absolu de se conformer aux règles déontologiques qui régissent cette profession et l’impérieuse nécessité de ne pas blesser les humains tant la plume du journaliste n’est pas et ne saurait être une arme de guerre qui détruit des morts et des innocents sous le seul prétexte de la célébrité ».
Si ce ne sont pas des menaces, ça…
Le Témoin
L’avocat ajoute qu’ « il faudrait s’en offusquer, et pour cause ! Ma cliente qui ne s’explique guère les raisons d’un tel acharnement sur sa personne, exprime ici, afin que nul n’ignore sa désolation et son amertume, sa volonté de protéger la mémoire de ses parents décédés, l’honneur de son enfant et sa considération. S’il est vrai que le rôle de la presse consiste à informer, cette fonction est sous tendue par le devoir absolu de se conformer aux règles déontologiques qui régissent cette profession et l’impérieuse nécessité de ne pas blesser les humains tant la plume du journaliste n’est pas et ne saurait être une arme de guerre qui détruit des morts et des innocents sous le seul prétexte de la célébrité ».
Si ce ne sont pas des menaces, ça…
Le Témoin