Depuis quand la bande à Alioune SARR choisit des adversaires aux lutteurs ? Le fait que Roky BALBOA n’ait pas fait ses preuves dans l’arène n’est pas un argument convaincant dans la mesure où son challenger Bombardier a accepté de l’affronter.
Paradoxalement, le même CNG de lutte a délivré au chef de file de l’écurie Colobane-Suisse sa licence en bonne et due forme. Ledit document, l’autorise à affronter n’importe quel lutteur, peu importe la catégorie de son poids. Le plus ahurissant dans cette affaire est que la catégorisation justement n’a jamais été prise en compte dans l’officialisation des combats. Si c’était le cas pourquoi le CNG a-t-il pu, alors, fermer les yeux sur le combat entre le même bombardier et Modou LO de ROCK ENERGIE ? Tout le monde sait que le poids de Bombardier a été déterminant dans l’issue de ce combat.
Le cas de Juan, du nom ce lutteur espagnol, titulaire d’une licence délivrée par le CNG, est révélateur de la mauvaise foi des dirigeants de la lutte.
Malheureusement, dans l’argumentaire du CNG, la phrase qui irrite le monde de la lutte est la suivante : « le bureau exécutif estime que n’importe qui ne peut pas se lever un beau jour, sans avoir fait ses preuves dans l’arène, pour défier les champions de la lutte sénégalaise ».
Alors question. Qui est champion de lutte et qui ne l’est pas ?
La question vaut tout son pesant d’or, dans la mesure où, après Manga 2, le CNG n’a plus décerner le titre de roi des arènes contre vents et marées. Conséquence les lutteurs comme Tyson, Bombardier, Yékini et Balla GAYE 2 considérés comme les meilleurs de la discipline ces 10 dernières années, ne sont pas reconnus comme roi des arènes par la CNG même si les médias ont eu à les appeler ainsi.
C’est donc dire que le CNG est victime de ses propres contradictions et tombe dans son propre piège. Du coup, se pose alors la question de la légalité de cette décision s’opposant au combat. Sur ce point, un juriste est monté au créneau, dans l’édition du journal « SUNU LAMB » du vendredi 6 septembre 2015, pour nous conforter dans notre position. Il s’agit de l’avocat Me Baboucar CISSE qui estime « qu’il faut un fondement légal et des textes pour interdire la rencontre ».
Cela dit, l’instance dirigeante de la lutte est obligée de revoir sa copie, en fournissant à l’opinion en général et aux amateurs en particulier, des arguments plus convaincants et légaux, sachant que la thèse de la catégorisation ne tient pas la route et qui pourrait même être attaquée en justice en cas de persistance du CNG.
Par contre, si le promoteur Mansour AW n’avait pas respecté les conditions requises pour organiser un combat lutte à l’étranger, le CNG pourrait bien s’y opposer. Ainsi cela n’aurait pas suscité autant de polémique qui ternit, davantage, l’image de ce comité national de gestion de la lutte devenu impopulaire parce que, de plus en plus critiqué par les acteurs eux même.
On ose espérer que les différentes parties trouveront le plus vite un terrain d’entente pour le bien de la lutte qui a déjà d’autres problèmes à régler.
Sengal7.com
Paradoxalement, le même CNG de lutte a délivré au chef de file de l’écurie Colobane-Suisse sa licence en bonne et due forme. Ledit document, l’autorise à affronter n’importe quel lutteur, peu importe la catégorie de son poids. Le plus ahurissant dans cette affaire est que la catégorisation justement n’a jamais été prise en compte dans l’officialisation des combats. Si c’était le cas pourquoi le CNG a-t-il pu, alors, fermer les yeux sur le combat entre le même bombardier et Modou LO de ROCK ENERGIE ? Tout le monde sait que le poids de Bombardier a été déterminant dans l’issue de ce combat.
Le cas de Juan, du nom ce lutteur espagnol, titulaire d’une licence délivrée par le CNG, est révélateur de la mauvaise foi des dirigeants de la lutte.
Malheureusement, dans l’argumentaire du CNG, la phrase qui irrite le monde de la lutte est la suivante : « le bureau exécutif estime que n’importe qui ne peut pas se lever un beau jour, sans avoir fait ses preuves dans l’arène, pour défier les champions de la lutte sénégalaise ».
Alors question. Qui est champion de lutte et qui ne l’est pas ?
La question vaut tout son pesant d’or, dans la mesure où, après Manga 2, le CNG n’a plus décerner le titre de roi des arènes contre vents et marées. Conséquence les lutteurs comme Tyson, Bombardier, Yékini et Balla GAYE 2 considérés comme les meilleurs de la discipline ces 10 dernières années, ne sont pas reconnus comme roi des arènes par la CNG même si les médias ont eu à les appeler ainsi.
C’est donc dire que le CNG est victime de ses propres contradictions et tombe dans son propre piège. Du coup, se pose alors la question de la légalité de cette décision s’opposant au combat. Sur ce point, un juriste est monté au créneau, dans l’édition du journal « SUNU LAMB » du vendredi 6 septembre 2015, pour nous conforter dans notre position. Il s’agit de l’avocat Me Baboucar CISSE qui estime « qu’il faut un fondement légal et des textes pour interdire la rencontre ».
Cela dit, l’instance dirigeante de la lutte est obligée de revoir sa copie, en fournissant à l’opinion en général et aux amateurs en particulier, des arguments plus convaincants et légaux, sachant que la thèse de la catégorisation ne tient pas la route et qui pourrait même être attaquée en justice en cas de persistance du CNG.
Par contre, si le promoteur Mansour AW n’avait pas respecté les conditions requises pour organiser un combat lutte à l’étranger, le CNG pourrait bien s’y opposer. Ainsi cela n’aurait pas suscité autant de polémique qui ternit, davantage, l’image de ce comité national de gestion de la lutte devenu impopulaire parce que, de plus en plus critiqué par les acteurs eux même.
On ose espérer que les différentes parties trouveront le plus vite un terrain d’entente pour le bien de la lutte qui a déjà d’autres problèmes à régler.
Sengal7.com