«Chaque mois, nos salaires diminuent et quand nous faisons des réclamations, ils ne nous donnent pas de réponses satisfaisantes. Ce mois-ci, lors que les salaires sont tombés, cela a créé un chaos total chez tous les ouvriers. Ce qui fait qu’en ce moment, ils ont baissé les bras», a souligné le porte-parole, André Mendy.
Pis, regrette ce travailleur, la direction d’Eiffage Marine refuse toute négociation. En lieu et place de la concertation, leur employeur a préféré dépêcher la gendarmerie pour choisir ceux qui doivent travailler.
Une discrimination qui irrite au plus haut point le coordonnateur administratif du mouvement Frapp / France Dégage. Dans ce traitement dégradant d’Eiffage Marine, Guy Marius Sagna déplore la complicité de l’Etat du Sénégal mais aussi des centrales syndicales.
«Nous dénonçons l’esclavage des salariés qui a cours, sous la complicité du Président Macky Sall, sous le silence complice du ministre du Travail et de l’inspection du Travail. A Eiffage Marine, les droits syndicaux sont bafoués. Les délégués du personnel qui sont là -bas, sont des délégués béni-oui-oui alors que les travailleurs sont fatigués», peste l’activiste.
Face à ces conditions de travail inhumaines qui perdurent, André Mendy et ses camarades menacent de descendre dans la rue, dans les jours à venir, pour dénoncer l’esclavagisme dont ils sont victimes.
Pis, regrette ce travailleur, la direction d’Eiffage Marine refuse toute négociation. En lieu et place de la concertation, leur employeur a préféré dépêcher la gendarmerie pour choisir ceux qui doivent travailler.
Une discrimination qui irrite au plus haut point le coordonnateur administratif du mouvement Frapp / France Dégage. Dans ce traitement dégradant d’Eiffage Marine, Guy Marius Sagna déplore la complicité de l’Etat du Sénégal mais aussi des centrales syndicales.
«Nous dénonçons l’esclavage des salariés qui a cours, sous la complicité du Président Macky Sall, sous le silence complice du ministre du Travail et de l’inspection du Travail. A Eiffage Marine, les droits syndicaux sont bafoués. Les délégués du personnel qui sont là -bas, sont des délégués béni-oui-oui alors que les travailleurs sont fatigués», peste l’activiste.
Face à ces conditions de travail inhumaines qui perdurent, André Mendy et ses camarades menacent de descendre dans la rue, dans les jours à venir, pour dénoncer l’esclavagisme dont ils sont victimes.