Le commissariat urbain de Ziguinchor a mis fin aux agissements de quatre élèves et étudiantes qui s’adonnaient à la prostitution clandestine dans cette ville de la Basse Casamance. D’après EnQuête, elles ont quittés la Guinée-Bissau pour rallier la capitale du sud, le week-end dernier. C’est ainsi que, dans la nuit du dimanche au lundi dernier, l’auberge « Moulin Rouge », niché dans le quartier Yamatogne, où cette pratique semble prospérer, a été investi par les hommes du commissaire. Sur place, les éléments de la brigade de recherche se sont fait passer pour des clients. Dans la partie de l’auberge qui abrite les chambres de » passe, ils ont trouvé trois bissau-guinéennes, qui ne parlent que créole, attendant les clients. Invités à regagner le premier étage, les limiers ont surpris la quatrième fille en plein action avec un client.
Lors de leur auditions, les quatre filles ont reconnu sans ambages les faits qui leurs sont reprochés. Elles ont affirmé qu’elles avaient l’intention de passer le week-end dans cette auberge pour chercher de l’argent. Avec les sommes gagnées, elles comptaient s’en servir pour l’achat de marchandises. Des marchandises qu’elles ne vendront pas de sitôt, parce qu’elles ont été déférées au parquet, depuis hier, pour les délits de prostitution clandestine, non inscription au fichier sanitaire et social et défaut de carnet sanitaire.
Lors de leur auditions, les quatre filles ont reconnu sans ambages les faits qui leurs sont reprochés. Elles ont affirmé qu’elles avaient l’intention de passer le week-end dans cette auberge pour chercher de l’argent. Avec les sommes gagnées, elles comptaient s’en servir pour l’achat de marchandises. Des marchandises qu’elles ne vendront pas de sitôt, parce qu’elles ont été déférées au parquet, depuis hier, pour les délits de prostitution clandestine, non inscription au fichier sanitaire et social et défaut de carnet sanitaire.