"À Tout va mal, nous regrettons toutes ces déclarations à outrance émises suite aux propos maladroits de M. Idrissa Seck. Nous dénonçons vigoureusement le caractère cynique et très dangereux adopté par certains propos, au regard de leur nature si équivoque et très susceptibles à orienter le débat vers des dualités entre confréries musulmanes », déclare dans un communiqué son président Blaise Pascal Cissé.
Dans cette affaire, ajoute-t-il, "il n'y s'agit ni plus ni moins qu'un débat théologique ne devant nécessiter de part et d'autre que des argumentations claires pouvant édifier autant l'opinion publique que M. Idrissa Seck face à son interrogation".
«Certes, la faiblesse du niveau de perception de M. Seck par rapport au message coranique demeure évidente mais ne saurait mériter ou justifier une remise en cause de l'exception sénégalaise en matière de tolérance religieuse. Et ainsi, nous mettons nos chefs religieux face à leur propre responsabilité. À défaut des politiciens aujourd'hui, ce sont les religieux qui veulent brûler le Sénégal ! », martèle Blaise Pacal Cissé. Avant de conclure : "L'intolérance, l’acharnement et l'envie d'humilier son prochain n'ont jamais été des caractères de la fine fleur des élus ( Mohamed PSL)".
Dans cette affaire, ajoute-t-il, "il n'y s'agit ni plus ni moins qu'un débat théologique ne devant nécessiter de part et d'autre que des argumentations claires pouvant édifier autant l'opinion publique que M. Idrissa Seck face à son interrogation".
«Certes, la faiblesse du niveau de perception de M. Seck par rapport au message coranique demeure évidente mais ne saurait mériter ou justifier une remise en cause de l'exception sénégalaise en matière de tolérance religieuse. Et ainsi, nous mettons nos chefs religieux face à leur propre responsabilité. À défaut des politiciens aujourd'hui, ce sont les religieux qui veulent brûler le Sénégal ! », martèle Blaise Pacal Cissé. Avant de conclure : "L'intolérance, l’acharnement et l'envie d'humilier son prochain n'ont jamais été des caractères de la fine fleur des élus ( Mohamed PSL)".