Le Bureau pays de l’Organisation International pour les Migrations (OIM) au Sénégal, a lancé avant-hier, lundi 14 mars 2022, la première édition du prix du meilleur reportage sur la migration.
Selon un communiqué reçu à la Rédaction de "Sud Quotidien", hier mardi, ce concours mis en œuvre dans le cadre de l’Initiative Conjointe financé par l’Union européenne, «vise à promouvoir des contenus médiatiques de qualité, obéissant aux règles et pratiques déontologiques du journalisme, sur les questions migratoires, notamment sur la protection des migrants, la réintégration des migrants de retour et la sensibilisation sur la migration irrégulière».
En plus de notre pays où il est ouvert aux journalistes sénégalais et étrangers résidant au Sénégal et affiliés à un organe de presse local ou international, le concours sera également organisé par l’OIM en Gambie, Mauritanie, Niger, Mali, Nigeria et Tchad, entre mars et juillet 2022. «Le Sénégal et la Gambie seront ainsi les premiers pays à lancer le concours. Au Sénégal, neuf prix au total seront décernés dont trois (3) prix pour chaque catégorie de média – Télévision, Radio et Presse écrite/en ligne.
Les prix seront compris entre 400 et 1200 dollars, en plus d’un certificat de reconnaissance remis lors de la cérémonie officielle de remise de prix qui est prévue pour le 20 mai 2022», précise la source.
Et de relever que l’objectif de ce concours est de promouvoir des histoires équilibrées, factuelles, positives, constructives, sortant de l’ordinaire et dénué de tout stéréotype sur les migrants et la migration. Il vise aussi à promouvoir des histoires qui contribuent à préserver la dignité des migrants dans le monde entier.
Suffisant pour qu’Alpha Seydi Bâ, porte-parole et responsable régional média et communication de OIM pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, déclare : «il est primordial que les journalistes et les rédactions consacrent un investissement constant et qualitatif sur les questions migratoires, pour apporter des éléments d’appréciation factuels permettant de déconstruire les nombreux discours biaisés. La migration est complexe et dynamique.
Le rôle du journaliste est fondamental, non seulement pour favoriser une migration sûre et régulière, mais surtout, pour aider à apprécier ses multiples facettes».
De son côté, Valeria Falaschi, Cheffe de mission de l’OIM Sénégal, rappelle que «le traitement médiatique de la migration et des histoires de migrants doit être respectueux de la dignité du migrant et refléter une bonne maîtrise de la terminologie de celle-ci. L’intérêt de ce concours est de favoriser une information claire et non préjudiciable, qui se démarque du traitement sensationnel et émotionnel des histoires habituelles de migration». Rapporte Vipeoples .
Selon un communiqué reçu à la Rédaction de "Sud Quotidien", hier mardi, ce concours mis en œuvre dans le cadre de l’Initiative Conjointe financé par l’Union européenne, «vise à promouvoir des contenus médiatiques de qualité, obéissant aux règles et pratiques déontologiques du journalisme, sur les questions migratoires, notamment sur la protection des migrants, la réintégration des migrants de retour et la sensibilisation sur la migration irrégulière».
En plus de notre pays où il est ouvert aux journalistes sénégalais et étrangers résidant au Sénégal et affiliés à un organe de presse local ou international, le concours sera également organisé par l’OIM en Gambie, Mauritanie, Niger, Mali, Nigeria et Tchad, entre mars et juillet 2022. «Le Sénégal et la Gambie seront ainsi les premiers pays à lancer le concours. Au Sénégal, neuf prix au total seront décernés dont trois (3) prix pour chaque catégorie de média – Télévision, Radio et Presse écrite/en ligne.
Les prix seront compris entre 400 et 1200 dollars, en plus d’un certificat de reconnaissance remis lors de la cérémonie officielle de remise de prix qui est prévue pour le 20 mai 2022», précise la source.
Et de relever que l’objectif de ce concours est de promouvoir des histoires équilibrées, factuelles, positives, constructives, sortant de l’ordinaire et dénué de tout stéréotype sur les migrants et la migration. Il vise aussi à promouvoir des histoires qui contribuent à préserver la dignité des migrants dans le monde entier.
Suffisant pour qu’Alpha Seydi Bâ, porte-parole et responsable régional média et communication de OIM pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, déclare : «il est primordial que les journalistes et les rédactions consacrent un investissement constant et qualitatif sur les questions migratoires, pour apporter des éléments d’appréciation factuels permettant de déconstruire les nombreux discours biaisés. La migration est complexe et dynamique.
Le rôle du journaliste est fondamental, non seulement pour favoriser une migration sûre et régulière, mais surtout, pour aider à apprécier ses multiples facettes».
De son côté, Valeria Falaschi, Cheffe de mission de l’OIM Sénégal, rappelle que «le traitement médiatique de la migration et des histoires de migrants doit être respectueux de la dignité du migrant et refléter une bonne maîtrise de la terminologie de celle-ci. L’intérêt de ce concours est de favoriser une information claire et non préjudiciable, qui se démarque du traitement sensationnel et émotionnel des histoires habituelles de migration». Rapporte Vipeoples .