« Il s’agit de lancer officiellement le mécanisme de garantie en faveur des promoteurs pour l’organisation régulière de combats, dans l’optique d’asseoir l’émergence d’une véritable économie autour de la lutte », a-t-il déclaré devant plusieurs acteurs de la lutte dont l’actuel roi des arènes Modou Lo.
Amadou Ba a présidé cette cérémonie de lancement au King Fahd Palace en présence de la ministre de l’économie du plan et de la coopération, Oulimata Sarr , du ministre l’urbanisme, du logement et hygiène publique, Abdoulaye Seydou Sow, de Thérèse Faye Diouf, l’administratrice générale du fond de garantie des investissements prioritaires (FONGIP) et du président du Comité national de gestion de lutte (CNG), Ibrahima Bira Sène.
Le Premier ministre a félicité les promoteurs de lutte pour »les nombreux sacrifices consentis » depuis plusieurs années pour le développement de la lutte au Sénégal.
Il a loué aussi »le rôle » du comité national de gestion de la lutte (CNG), qui dit-il, »est en train de déployer d’énormes efforts, pour capitaliser sur les acquis et renforcer le positionnement de la lutte sénégalaise aux plans national et international ».
Ce nouveau mécanisme sera piloté par le fonds de garantie des investissements prioritaires (FONGIP) afin de poursuivre l’élan de soutien de l’Etat en faveur du secteur privé, plus particulièrement des promoteurs de lutte.
Selon Thérèse Faye administratrice générale du FONGIP, « pour bénéficier de ces fonds de financement, le prometteur doit être immatriculé au Rccm (registre du commerce et du crédit mobilier), disposer d’un NINEA mais également d’une licence de prometteur de lutte en cours de validité ».
Elle a ajouté que dans le cadre cette initiative, le montant maximum du prêt est de 40 millions par prometteur, remboursable sur une durée 12 mois avec taux d’intérêt de 8% .
Le président du CNG a salué »un accord historique » qui permettra d’accroître les activités et d’impulser un nouveau dynamisme dans le secteur de la lutte.
Ibrahima Bira Sène a demandé aux prometteurs de faire un bon usage des prêts qu’ils auront contractés notamment en les remboursant dans les délais exigés.
Lors de cette rencontre, le FONGIP a signé des convention de partenariat avec le comité national de gestion de la lutte, le partenariat pour la mobilisation de l’épargne et de crédits (PAMECAS) et le MICROSEN en vue d’opérationnaliser la ligne de garantie.
APS
Amadou Ba a présidé cette cérémonie de lancement au King Fahd Palace en présence de la ministre de l’économie du plan et de la coopération, Oulimata Sarr , du ministre l’urbanisme, du logement et hygiène publique, Abdoulaye Seydou Sow, de Thérèse Faye Diouf, l’administratrice générale du fond de garantie des investissements prioritaires (FONGIP) et du président du Comité national de gestion de lutte (CNG), Ibrahima Bira Sène.
Le Premier ministre a félicité les promoteurs de lutte pour »les nombreux sacrifices consentis » depuis plusieurs années pour le développement de la lutte au Sénégal.
Il a loué aussi »le rôle » du comité national de gestion de la lutte (CNG), qui dit-il, »est en train de déployer d’énormes efforts, pour capitaliser sur les acquis et renforcer le positionnement de la lutte sénégalaise aux plans national et international ».
Ce nouveau mécanisme sera piloté par le fonds de garantie des investissements prioritaires (FONGIP) afin de poursuivre l’élan de soutien de l’Etat en faveur du secteur privé, plus particulièrement des promoteurs de lutte.
Selon Thérèse Faye administratrice générale du FONGIP, « pour bénéficier de ces fonds de financement, le prometteur doit être immatriculé au Rccm (registre du commerce et du crédit mobilier), disposer d’un NINEA mais également d’une licence de prometteur de lutte en cours de validité ».
Elle a ajouté que dans le cadre cette initiative, le montant maximum du prêt est de 40 millions par prometteur, remboursable sur une durée 12 mois avec taux d’intérêt de 8% .
Le président du CNG a salué »un accord historique » qui permettra d’accroître les activités et d’impulser un nouveau dynamisme dans le secteur de la lutte.
Ibrahima Bira Sène a demandé aux prometteurs de faire un bon usage des prêts qu’ils auront contractés notamment en les remboursant dans les délais exigés.
Lors de cette rencontre, le FONGIP a signé des convention de partenariat avec le comité national de gestion de la lutte, le partenariat pour la mobilisation de l’épargne et de crédits (PAMECAS) et le MICROSEN en vue d’opérationnaliser la ligne de garantie.
APS