L’image des dignitaires à l’accueil du Président Bassirou Diomaye Faye à Paris, a intrigué plus d’un. A la coupée de l'avion présidentiel et à la pointe, il y avait Souleymane Jules Diop. Ambassadeur, délégué permanent de la République du Sénégal auprès de l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), il n'y a rien, sans doute, qui s’oppose à cette présence de Jules Diop à l’accueil du chef de l'Etat. L’occasion a dû être décisive pour lui, de marquer davantage sa proximité avec le tandem Diomaye-Sonko.
En tout cas, peu avant, dans une émission à "Seneweb", site d’informations générales, Souleymane Jules Diop a clairement exprimé son admiration pour le président de Pastef, Ousmane Sonko. “Même le port vestimentaire de Ousmane Sonko parle”, a fait savoir Souleymane Jules Diop. “Nous devons apprendre de ce port vestimentaire, qui est, en lui-même, une forme de communication”, analyse-t-il, ajoutant que “toute sa gestuelle est communication : tantôt en Lacoste, tantôt en mode lutteur”.
Attaché au débat d’idées, Souleymane Jules Diop affirme avoir marqué sa fierté quand le Pastef est arrivé sur la scène politique. “Il s’agit de cadres sortis de Sanar (Université Gaston Berger), où on affectait de brillants élèves. Si ces cadres avaient créé un syndicat, ce serait du solide, idem pour un parti politique. Nous avons besoin d’un cadre comme celui-ci, pour élever le niveau du débat”, a-t-il martelé dans la même émission sur "Seneweb".
“D'ailleurs, Sonko avait commencé ce débat de haut niveau sur l’économie, les finances publiques et le débat sur les réformes politiques”, précise-t-il. Ressortissant de Ziguinchor comme Ousmane Sonko, Souleymane Jules Diop dit ne pas être en mesure de combattre quelqu’un dont le grand-père était un proche du sien.
“Les oppositions doivent être bâties sur des principes. Quand je vois des jeunes comme Amadou Bâ parler de droit sur les plateaux, j'éprouve une grande fierté”, renchérit le délégué permanent de la République du Sénégal auprès de l’Unesco. Souleymane Jules Diop partage, visiblement, cette proximité au tandem Diomaye-Sonko, avec le maire de Kolda, Mamadou Mame Boye Diao.
Invité à la TFM, télévision privée, Mame Boye Diao, alors patron de la Caisse de Dépôt et des Consignations, n’avait pas dissimulé ses bonnes relations avec le leader de Pastef. “Je garde toujours de bons rapports avec Sonko. Il est venu me rendre visite à l’occasion du décès de ma mère, alors que beaucoup de mes camarades de parti ne l’ont pas fait”, répond-il aux journalistes. “On a eu des rapports humains, cruciaux à la DGID, même si nos contradictions politiques restent intactes”, martèle-t-il.
D'après le journal "Point Actu", le maire de Kolda s’est également montré dans une grande intimité, lors de la dernière visite du chef de l’Etat au Gamou du marabout Fansou Bodian de Bignona. Il en a été de même à l’édition de l’année dernière du même Gamou, entre Mame Boye Diao et le président de Pastef, Ousmane Sonko.
En clair, Souleymane Jules Diop et Mame Boye Diao passent pour être les plus en vue, parmi les hommes politiques, originaires de la Casamance, à marquer leur adhésion au “Projet” politique porté par le duo Diomaye-Sonko.
En tout cas, peu avant, dans une émission à "Seneweb", site d’informations générales, Souleymane Jules Diop a clairement exprimé son admiration pour le président de Pastef, Ousmane Sonko. “Même le port vestimentaire de Ousmane Sonko parle”, a fait savoir Souleymane Jules Diop. “Nous devons apprendre de ce port vestimentaire, qui est, en lui-même, une forme de communication”, analyse-t-il, ajoutant que “toute sa gestuelle est communication : tantôt en Lacoste, tantôt en mode lutteur”.
Attaché au débat d’idées, Souleymane Jules Diop affirme avoir marqué sa fierté quand le Pastef est arrivé sur la scène politique. “Il s’agit de cadres sortis de Sanar (Université Gaston Berger), où on affectait de brillants élèves. Si ces cadres avaient créé un syndicat, ce serait du solide, idem pour un parti politique. Nous avons besoin d’un cadre comme celui-ci, pour élever le niveau du débat”, a-t-il martelé dans la même émission sur "Seneweb".
“D'ailleurs, Sonko avait commencé ce débat de haut niveau sur l’économie, les finances publiques et le débat sur les réformes politiques”, précise-t-il. Ressortissant de Ziguinchor comme Ousmane Sonko, Souleymane Jules Diop dit ne pas être en mesure de combattre quelqu’un dont le grand-père était un proche du sien.
“Les oppositions doivent être bâties sur des principes. Quand je vois des jeunes comme Amadou Bâ parler de droit sur les plateaux, j'éprouve une grande fierté”, renchérit le délégué permanent de la République du Sénégal auprès de l’Unesco. Souleymane Jules Diop partage, visiblement, cette proximité au tandem Diomaye-Sonko, avec le maire de Kolda, Mamadou Mame Boye Diao.
Invité à la TFM, télévision privée, Mame Boye Diao, alors patron de la Caisse de Dépôt et des Consignations, n’avait pas dissimulé ses bonnes relations avec le leader de Pastef. “Je garde toujours de bons rapports avec Sonko. Il est venu me rendre visite à l’occasion du décès de ma mère, alors que beaucoup de mes camarades de parti ne l’ont pas fait”, répond-il aux journalistes. “On a eu des rapports humains, cruciaux à la DGID, même si nos contradictions politiques restent intactes”, martèle-t-il.
D'après le journal "Point Actu", le maire de Kolda s’est également montré dans une grande intimité, lors de la dernière visite du chef de l’Etat au Gamou du marabout Fansou Bodian de Bignona. Il en a été de même à l’édition de l’année dernière du même Gamou, entre Mame Boye Diao et le président de Pastef, Ousmane Sonko.
En clair, Souleymane Jules Diop et Mame Boye Diao passent pour être les plus en vue, parmi les hommes politiques, originaires de la Casamance, à marquer leur adhésion au “Projet” politique porté par le duo Diomaye-Sonko.