2016 aura été une année rebelle, parce qu'ayant été le théâtre de moult d'événements inattendus, de faits divers renversants et d'une actualité parfois frissonnante et passionnante. Du saccage du parti socialiste (PS) survenu le 5 mars 2016, au meurtre de la conseillère économique, sociale et environnementale, Fatoumata Matar Ndiaye le 19 novembre 2016, jour de la célébration du Grand Magal de Touba, en passant par l'affaire dite de la minuterie de Rebeuss, le mardi 20 septembre de la même année , que d'affaires "sérieuses" ont secoué la République et passionnées ou fait frissonner ses enfants.
Une probité et une intégrité avérées
"Il est vrai que l'année écoulée a été très mouvementée, sur le plan judiciaire, avec toutes ces affaires que vous avez énumérées. Mais ; Monsieur le procureur et son équipe ont tenu bon, ayant le coeur de servir le peuple. Serigne Babacar Guèye est le cheval sur les textes; rigoureux très flexible quant à l'application des lois", témoigne ce parquetier, qui a requis l'anonymat; comme il est d'usage dans son corps de métier.
Il est vrai qu'à force d'abnégation et de travail le procureur de la République est arrivé au plus haut niveau de responsabilité dans l'appareil judiciaire. " Sa probité et son intégrité morales ont fait que les courtiers et les trafiquants d'influences; qui essaiment au Palais de justice n’ont plus droit de cité au Tribunal. Il n'accepte pas, également; de se de se soumettre et fait son travail comme il se doit"., poursuit notre interlocuteur.
Le successeur de Bassirou Diagne aux fonctions de procureur de la République est un produit du centre de formation judiciaire (CFJ); de la promotion 1998. Il est titulaire d'un Diplôme d'Etude en Droit (DEA) en droit option; droit public. Serigne Bassirou Guèye a été; tour à tour, substitut du procureur de Dakar, auditeur à la Cour suprême; substitut du procureur à la Cour d'appel de Dakar, puis procureur de Tambacounda.
Son riche parcours à travers les juridictions du pays, cette intégrité et cette probité morale que lui reconnaissent ses confrères, lui valurent d'être appelé par l'ancien Garde des Sceaux, Aminata Touré qui, d'après certaines confidences, s'est uniquement basée sur les témoignages et échos qui lui parvenaient de l'homme. C'est ainsi qu'il intégra le cabinet de cette dernière, en qualité de conseiller technique numéro 1, avant d'être promu procureur de la République.
Le Parquet, dont il est patron, a, on s'en souvient encore, au cours de l'année, bouclé l'épineux dossier Bassirou Faye. Une enquête qui avait défrayé la chronique et avait tenu en haleine tout le peuple; pendant plus d'une année. Le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, dont la compétence n'est plus à démontrer; avait pris le contrôle des opérations ; mobilisé l'ensemble de ses collaborateurs, pour en arriver à un dénouement heureux de cette énigme qui n'en finissait pas de faire monter la grogne au sein des cercles estudiantins et même dans la plus haute hiérarchie de la police.
L'assaut des ennemis encagoulés
Serigne Bassirou Guèye a dû tenir bon pour arriver à bout de toutes ces affaires qui ont secoué la République. Il lui a fallu assez de poigne, d'audace et de fermeté, car le procureur ne compte pas que des amis au sein de l'appareil judiciaire et de la chancellerie. En effet, force est de reconnaître, l'avocat de la société avait traversé l'année 2016 dans un tumulte fait d'intrigues, de manœuvres et de combines. Le fameux communiqué du mai 2016, qui avait suite au non-lieu de Mme Aida Ndiongue, en est parfaite illustration. Un texte publié dans les médias et qui avait délibérément substitué au véritable communiqué élaboré par le parquet de Dakar, prêtant à Serigne Bassirou Guèye; en effet, une posture assez trouble dans cette affaire, alors que ce n'était rien d'autre que des assauts d'ennemis encagoulés.
Malgré tout, il tient bon et continue à servir loyalement la société, pour qui et l'endroit de qui il plaide et requiert la justice, au nom du Droit et de la Loi. Lors de sa dernière sortie ; qui faisait suite à l'assassinant de la vice-présidente du conseil économique social et environnemental (CESE); il rassurait ses compatriotes en leur garantissant que le Parquet et les autorités prendront leurs responsabilités, et que, quiconque commet des actes ignobles; sera jugé sévèrement. Il assurait également, que les services de sécurité font leur travail pour que le Sénégal soit un pays de sécurité.
Par Modou Fall (Directinfo)
Une probité et une intégrité avérées
"Il est vrai que l'année écoulée a été très mouvementée, sur le plan judiciaire, avec toutes ces affaires que vous avez énumérées. Mais ; Monsieur le procureur et son équipe ont tenu bon, ayant le coeur de servir le peuple. Serigne Babacar Guèye est le cheval sur les textes; rigoureux très flexible quant à l'application des lois", témoigne ce parquetier, qui a requis l'anonymat; comme il est d'usage dans son corps de métier.
Il est vrai qu'à force d'abnégation et de travail le procureur de la République est arrivé au plus haut niveau de responsabilité dans l'appareil judiciaire. " Sa probité et son intégrité morales ont fait que les courtiers et les trafiquants d'influences; qui essaiment au Palais de justice n’ont plus droit de cité au Tribunal. Il n'accepte pas, également; de se de se soumettre et fait son travail comme il se doit"., poursuit notre interlocuteur.
Le successeur de Bassirou Diagne aux fonctions de procureur de la République est un produit du centre de formation judiciaire (CFJ); de la promotion 1998. Il est titulaire d'un Diplôme d'Etude en Droit (DEA) en droit option; droit public. Serigne Bassirou Guèye a été; tour à tour, substitut du procureur de Dakar, auditeur à la Cour suprême; substitut du procureur à la Cour d'appel de Dakar, puis procureur de Tambacounda.
Son riche parcours à travers les juridictions du pays, cette intégrité et cette probité morale que lui reconnaissent ses confrères, lui valurent d'être appelé par l'ancien Garde des Sceaux, Aminata Touré qui, d'après certaines confidences, s'est uniquement basée sur les témoignages et échos qui lui parvenaient de l'homme. C'est ainsi qu'il intégra le cabinet de cette dernière, en qualité de conseiller technique numéro 1, avant d'être promu procureur de la République.
Le Parquet, dont il est patron, a, on s'en souvient encore, au cours de l'année, bouclé l'épineux dossier Bassirou Faye. Une enquête qui avait défrayé la chronique et avait tenu en haleine tout le peuple; pendant plus d'une année. Le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, dont la compétence n'est plus à démontrer; avait pris le contrôle des opérations ; mobilisé l'ensemble de ses collaborateurs, pour en arriver à un dénouement heureux de cette énigme qui n'en finissait pas de faire monter la grogne au sein des cercles estudiantins et même dans la plus haute hiérarchie de la police.
L'assaut des ennemis encagoulés
Serigne Bassirou Guèye a dû tenir bon pour arriver à bout de toutes ces affaires qui ont secoué la République. Il lui a fallu assez de poigne, d'audace et de fermeté, car le procureur ne compte pas que des amis au sein de l'appareil judiciaire et de la chancellerie. En effet, force est de reconnaître, l'avocat de la société avait traversé l'année 2016 dans un tumulte fait d'intrigues, de manœuvres et de combines. Le fameux communiqué du mai 2016, qui avait suite au non-lieu de Mme Aida Ndiongue, en est parfaite illustration. Un texte publié dans les médias et qui avait délibérément substitué au véritable communiqué élaboré par le parquet de Dakar, prêtant à Serigne Bassirou Guèye; en effet, une posture assez trouble dans cette affaire, alors que ce n'était rien d'autre que des assauts d'ennemis encagoulés.
Malgré tout, il tient bon et continue à servir loyalement la société, pour qui et l'endroit de qui il plaide et requiert la justice, au nom du Droit et de la Loi. Lors de sa dernière sortie ; qui faisait suite à l'assassinant de la vice-présidente du conseil économique social et environnemental (CESE); il rassurait ses compatriotes en leur garantissant que le Parquet et les autorités prendront leurs responsabilités, et que, quiconque commet des actes ignobles; sera jugé sévèrement. Il assurait également, que les services de sécurité font leur travail pour que le Sénégal soit un pays de sécurité.
Par Modou Fall (Directinfo)