Cet opérateur économique vient de gagner son procès face à l’État ivoirien. À l’issue d’une très longue procédure judiciaire, Oumar Diawara vient d’obtenir gain de cause dans le litige qui l’opposait à l’État ivoirien. Une affaire qui a duré quatre longues années, car ça remonte à 2017 année où monsieur Diawara avait décidé d’investir en Côte d’Ivoire par la création d’une société en bonne et due forme.
Dans cette optique, il a effectué toutes démarches administratives et règlementaires pour l’érection de la société BNI (Banque nationale d'investissement) sur le sol ivoirien. Comme à l’accoutumée, ce genre d’opération nécessite de gros investissements ; ce dont Monsieur Diawara ne s’est pas privé de réunir pour mettre en orbite sa société.
Les choses vont mal se passer pour lui, qui ne savait pas qu’une vaste opération de chantage et de dénigrement s’opérait dans son dos, au point de le voir déchoir dans un profond labyrinthe avec des accusations de malversations et de corruption. Une campagne soutenue et parrainée, à ce qu'il paraîtrait, par certains hauts cadres ivoiriens.
Malgré cette passe difficile, M. Diawara qui n’a jamais douté de la justice, quand bien même l’égarement de certains hommes de la robe noire, qui ont mené bataille. Ainsi, quatre ans durant, d’assise en assisse, de procès en procès, la justice a fini par triompher, car le droit a été dit et bien dit dans toute sa splendeur.
En effet, la Cour de justice de la Cedeao, dans son jugement N° 34/21 du 22 octobre 2021, a reconnu l’État ivoirien coupable d’abus et de violation, en élargissant M. Diawara dans ses droits. Ainsi, justice est faite pour l’opérateur économique malien basé à
Abidjan.
La Cour de justice de la Cedeao condamne l’État ivoirien au paiement du montant d'un milliard deux cent cinquante mille francs Cfa en guise de dommages et réhabilitation de M. Oumar Diawara dans ses droits, à l’issue d’un contentieux qui remonte à 2017. Cette Cour a surtout fait ressortir les violations flagrantes des droits allégués par le plaignant et tranche en condamnant l’État Ivoirien à payer une amende de 1.250.000.000 F Cfa, en réparation de la violation des droits du requérant, plus un franc symbolique pour le préjudice moral qu’il a subi.
Sur la question, l’État ivoirien devrait, à partir de trois mois, après le rendu de cette juridiction, produire un rapport faisant état de l’exécution de la grosse. En attendant, M. Oumar Diawara est obligé de prendre son mal en patience, parce qu’il garde espoir que la justice finira toujours par triompher.
Tribune
Dans cette optique, il a effectué toutes démarches administratives et règlementaires pour l’érection de la société BNI (Banque nationale d'investissement) sur le sol ivoirien. Comme à l’accoutumée, ce genre d’opération nécessite de gros investissements ; ce dont Monsieur Diawara ne s’est pas privé de réunir pour mettre en orbite sa société.
Les choses vont mal se passer pour lui, qui ne savait pas qu’une vaste opération de chantage et de dénigrement s’opérait dans son dos, au point de le voir déchoir dans un profond labyrinthe avec des accusations de malversations et de corruption. Une campagne soutenue et parrainée, à ce qu'il paraîtrait, par certains hauts cadres ivoiriens.
Malgré cette passe difficile, M. Diawara qui n’a jamais douté de la justice, quand bien même l’égarement de certains hommes de la robe noire, qui ont mené bataille. Ainsi, quatre ans durant, d’assise en assisse, de procès en procès, la justice a fini par triompher, car le droit a été dit et bien dit dans toute sa splendeur.
En effet, la Cour de justice de la Cedeao, dans son jugement N° 34/21 du 22 octobre 2021, a reconnu l’État ivoirien coupable d’abus et de violation, en élargissant M. Diawara dans ses droits. Ainsi, justice est faite pour l’opérateur économique malien basé à
Abidjan.
La Cour de justice de la Cedeao condamne l’État ivoirien au paiement du montant d'un milliard deux cent cinquante mille francs Cfa en guise de dommages et réhabilitation de M. Oumar Diawara dans ses droits, à l’issue d’un contentieux qui remonte à 2017. Cette Cour a surtout fait ressortir les violations flagrantes des droits allégués par le plaignant et tranche en condamnant l’État Ivoirien à payer une amende de 1.250.000.000 F Cfa, en réparation de la violation des droits du requérant, plus un franc symbolique pour le préjudice moral qu’il a subi.
Sur la question, l’État ivoirien devrait, à partir de trois mois, après le rendu de cette juridiction, produire un rapport faisant état de l’exécution de la grosse. En attendant, M. Oumar Diawara est obligé de prendre son mal en patience, parce qu’il garde espoir que la justice finira toujours par triompher.
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