Selon le Populaire, Me Borso Pouye, avocate de Mbaye Ndiaye, un des co-prévenus de Karim a fait feu de tout bois. Première cible, Me Samba Bitèye, un des conseils de l’Etat du Sénégal, qui disait dans sa plaidoirie que pendant que Wade-fils et Pape Mamadou Pouye, des camarades de classe, fréquentaient les écoles clôturées, d’autres comme lui étaient dans le Tamba dans des établissements à ciel ouvert. Borso Pouye de lui remonter les bretelles : «vous auriez dû continuer et ne pas vous en arrêter à votre école. Vous auriez dû nous parler de l’école de vos brillantes filles que je vois à la télé. C’est ça la vie. On souhaite toujours le meilleur à nos enfants. Le débat ne se situe pas là. C’est que tout a été dit de manière exagérée», fait-elle remarquer.
A Henri Grégoire Diop, président de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) dont les avocats de la partie civile ont vanté le courage, Me Borso Pouye dira : «Ne vous souciez pas d’être meilleur que vos prédécesseurs ou vos contemporains, essayez tout simplement d’être meilleur que vous-même». S’adressant aux avocats de la partie civile, Me Borso Pouye est d’avis que tout a été dit dans cette affaire sauf le droit. «Que Dieu nous préserve de Satan. On a tout vu dans ces plaidoiries, sauf le droit. Il y aura eu beaucoup de pommade, d’encens et d’éloges. Éloges qui n’ont rien à ravir à Mbaye Pékh. La justice, ce n’est pas les flatteries, les flagorneries et des quolibets», fait-elle remarquer. Suffisant pour que le bâtonnier Yerim Thiam annonce à la Cour que la partie civile compte répliquer.
A Henri Grégoire Diop, président de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) dont les avocats de la partie civile ont vanté le courage, Me Borso Pouye dira : «Ne vous souciez pas d’être meilleur que vos prédécesseurs ou vos contemporains, essayez tout simplement d’être meilleur que vous-même». S’adressant aux avocats de la partie civile, Me Borso Pouye est d’avis que tout a été dit dans cette affaire sauf le droit. «Que Dieu nous préserve de Satan. On a tout vu dans ces plaidoiries, sauf le droit. Il y aura eu beaucoup de pommade, d’encens et d’éloges. Éloges qui n’ont rien à ravir à Mbaye Pékh. La justice, ce n’est pas les flatteries, les flagorneries et des quolibets», fait-elle remarquer. Suffisant pour que le bâtonnier Yerim Thiam annonce à la Cour que la partie civile compte répliquer.