Face au renchérissement du coût de la vie, ce que nous voulons, c’est la revalorisation de nos salaires. Nous dénonçons l’actuelle grille de salaire. Nous avons droit à une augmentation de salaire comme tout le monde», fulmine François Xavier Sarr, secrétaire administratif du Syndicat des enseignants du privé catholique.
«Cela fait dix ans que la prime de l’Office national de l’enseignement catholique du Sénégal (Onecs) n’a pas connu une évolution. Par ailleurs, faute de versements à l’Ipres, beaucoup d’enseignants vont à la retraite sans aucune pension et n’ont que leurs yeux pour pleurer. Ce n’est pas du tout normal», a détaillé M. Sarr.
Marie Yvette Keïta, la secrétaire générale du Syndicat national des enseignants du privé catholique, d’ajouter : «Nous n’avons pas l’habitude d’élever la voix. Le problème, c’est que nous en avons assez de cette situation. Les parents d’élèves sont satisfaits de nos bons résultats. Nous devons être, par conséquent, bien traités. Nous méritons plus de considération de la part de nos supérieurs qui, certes sont des abbés, mais restent des chefs d’entreprise».
Elle dit ne pas comprendre que les enseignants ne puissent pas avoir une indemnité de départ à la retraite, ni un reversement régulier de leurs charges sociales à la Caisse de sécurité sociale, à l’Ipres et à l’Ipm. Des revendications que les syndicalistes espèrent avoir été entendues.
«Cela fait dix ans que la prime de l’Office national de l’enseignement catholique du Sénégal (Onecs) n’a pas connu une évolution. Par ailleurs, faute de versements à l’Ipres, beaucoup d’enseignants vont à la retraite sans aucune pension et n’ont que leurs yeux pour pleurer. Ce n’est pas du tout normal», a détaillé M. Sarr.
Marie Yvette Keïta, la secrétaire générale du Syndicat national des enseignants du privé catholique, d’ajouter : «Nous n’avons pas l’habitude d’élever la voix. Le problème, c’est que nous en avons assez de cette situation. Les parents d’élèves sont satisfaits de nos bons résultats. Nous devons être, par conséquent, bien traités. Nous méritons plus de considération de la part de nos supérieurs qui, certes sont des abbés, mais restent des chefs d’entreprise».
Elle dit ne pas comprendre que les enseignants ne puissent pas avoir une indemnité de départ à la retraite, ni un reversement régulier de leurs charges sociales à la Caisse de sécurité sociale, à l’Ipres et à l’Ipm. Des revendications que les syndicalistes espèrent avoir été entendues.