C’est le constat fait par le coordonnateur régional de l’Ong Iscos, qui déroule les projets Decleeq et Pepite dans la région de Kolda, pour une meilleure prise en charge de ces personnes vulnérables et mineures.
Les résultats de ce projet ont fait l’objet d’un atelier régional de restitution organisé ce mercredi 15 mars dans la capitale du Fouladou. À en croire le coordonnateur régional de l’Ong Iscos à Kolda, «une centaine d’enfants handicapés identifiés dans les 9 écoles bénéficiaires du projet sont dans cette situation».
Pis, «la situation est beaucoup alarmante au niveau communautaire, c’est-à -dire chez les enfants hors école», regrette Jean Sène. Alors que toutes les dispositions ont été prises, en rapport avec les autorités judiciaires, pour que ces enfants puissent disposer de la carte d’égalité des chances. Une carte qui leur offre de nombreux avantages aux plans scolaire, sanitaire et transport public, entre autres, a indiqué M. Sène.
Il ajoute que cette problématique de l’état-civil reste «un fléau» dans cette partie sud du pays chez les enfants vulnérables par leur handicap. L’ampleur de ce phénomène des «enfants d’handicap sans papiers» s’explique par le fait que leurs parents, pour la plupart, ne sont pas allés déclarer leur progéniture à l’état-civil, a fait savoir M. Sène.
Tribune
Les résultats de ce projet ont fait l’objet d’un atelier régional de restitution organisé ce mercredi 15 mars dans la capitale du Fouladou. À en croire le coordonnateur régional de l’Ong Iscos à Kolda, «une centaine d’enfants handicapés identifiés dans les 9 écoles bénéficiaires du projet sont dans cette situation».
Pis, «la situation est beaucoup alarmante au niveau communautaire, c’est-à -dire chez les enfants hors école», regrette Jean Sène. Alors que toutes les dispositions ont été prises, en rapport avec les autorités judiciaires, pour que ces enfants puissent disposer de la carte d’égalité des chances. Une carte qui leur offre de nombreux avantages aux plans scolaire, sanitaire et transport public, entre autres, a indiqué M. Sène.
Il ajoute que cette problématique de l’état-civil reste «un fléau» dans cette partie sud du pays chez les enfants vulnérables par leur handicap. L’ampleur de ce phénomène des «enfants d’handicap sans papiers» s’explique par le fait que leurs parents, pour la plupart, ne sont pas allés déclarer leur progéniture à l’état-civil, a fait savoir M. Sène.
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