L'issue de cette élection est la plus incertaine de toutes les élections présidentielles organisées au Sénégal. Si au départ de ce scrutin, il est très difficile, voire impossible de miser sur un candidat avec certitude qu'il va le remporter, c'est à cause du contexte mais aussi de la pléthore de candidats déclarés. Si Benno ne s'était volé en éclats, on pourrait classer son candidat dans la catégorie des favoris. Mais avec l'implosion de la mouvance présidentielle et l'éventualité de votes sanctions, son candidat part à cette élection avec des chances réduites.
Du côté de l'opposition, le problème reste la dispersion des ses forces. A ce jour, l'opposition sénégalaise n'a pas encore montré des signes de regroupement. Si elle parvenait à se regrouper autour de trois à quatre pôles, elle partirait favorite à cette élection
À quelques mois d’une élection cruciale pour les populations, on assiste a une ribambelle d’ambitions pour devenir président du Sénégal. Mais si rien n’empêche les prétendants d'afficher leurs ambitions, force est de reconnaître que parmi ceux qui veulent se faire élire, d’aucuns sont des farceurs ou des profiteurs à côté de vrais patriotes engagés pour la cause des populations. Etre président, c’est être capable de déterminer une politique qui assure le bonheur et la sécurité des populations.
À ce titre, le président assume de très nombreuses fonctions dans des domaines variés ... Il n’est point besoin d’être un politicien de métier pour être un bon président. Il doit être à la fois un chef d’entreprise qui produit du service public, lequel doit être de qualité et cependant économe des deniers publics, mais aussi gérant d’une population qui est à la fois son client-administré et son patron électoral.
Si au niveau de certains états- major politiques, les gens se bousculent pour être désignés candidats, il ne faut surtout pas perdre de vue que les populations, qui n’accepterons pas d’être dirigés par n’importe qui, se feront respecter le moment venu en votant pour un tel et en refusant de le faire pour un autre. Pour les candidats du camp présidentiel, ils seront jugés sur ce qu'ils ont fait en tant que gouvernants, leurs résultats.
Il ya aussi le fait que les électeurs qui ont acquis de la maturité politique, vont porter leurs choix sur un candidat qui peut envisager des interactions entre ses décisions et les conséquences des changements induits pour la vie des habitants et activités. Et cela aussi bien en termes de réalisations, qu’en termes de lien social et d’environnement. Il nous faut un président qui excelle dans la conduite des affaires du pays.
Un président qui se distingue par de nombreuses actions en faveur des populations dans les domaines de la santé, de l'éducation, de la lutte contre le chômage, le développement de l'agriculture et de l'industrie, les inondations, les prises en charge médicales, les financements de groupements de femmes, la formation des jeunes, les accompagnements aux populations démunies et vulnérables…
Du côté de l'opposition, le problème reste la dispersion des ses forces. A ce jour, l'opposition sénégalaise n'a pas encore montré des signes de regroupement. Si elle parvenait à se regrouper autour de trois à quatre pôles, elle partirait favorite à cette élection
À quelques mois d’une élection cruciale pour les populations, on assiste a une ribambelle d’ambitions pour devenir président du Sénégal. Mais si rien n’empêche les prétendants d'afficher leurs ambitions, force est de reconnaître que parmi ceux qui veulent se faire élire, d’aucuns sont des farceurs ou des profiteurs à côté de vrais patriotes engagés pour la cause des populations. Etre président, c’est être capable de déterminer une politique qui assure le bonheur et la sécurité des populations.
À ce titre, le président assume de très nombreuses fonctions dans des domaines variés ... Il n’est point besoin d’être un politicien de métier pour être un bon président. Il doit être à la fois un chef d’entreprise qui produit du service public, lequel doit être de qualité et cependant économe des deniers publics, mais aussi gérant d’une population qui est à la fois son client-administré et son patron électoral.
Si au niveau de certains états- major politiques, les gens se bousculent pour être désignés candidats, il ne faut surtout pas perdre de vue que les populations, qui n’accepterons pas d’être dirigés par n’importe qui, se feront respecter le moment venu en votant pour un tel et en refusant de le faire pour un autre. Pour les candidats du camp présidentiel, ils seront jugés sur ce qu'ils ont fait en tant que gouvernants, leurs résultats.
Il ya aussi le fait que les électeurs qui ont acquis de la maturité politique, vont porter leurs choix sur un candidat qui peut envisager des interactions entre ses décisions et les conséquences des changements induits pour la vie des habitants et activités. Et cela aussi bien en termes de réalisations, qu’en termes de lien social et d’environnement. Il nous faut un président qui excelle dans la conduite des affaires du pays.
Un président qui se distingue par de nombreuses actions en faveur des populations dans les domaines de la santé, de l'éducation, de la lutte contre le chômage, le développement de l'agriculture et de l'industrie, les inondations, les prises en charge médicales, les financements de groupements de femmes, la formation des jeunes, les accompagnements aux populations démunies et vulnérables…