Il ne reste que cinq jours de campagne pour les deux candidats et tout se joue en province et en milieu rural. Mohamed Bazoum et ses alliés ont déjà organisé sept meetings dans sept chefs-lieux de région sur les huit que compte le pays. Mahamane Ousmane n’en a organisé à ce jour qu’un seul à Tillabéri. De retour de mission, il s’engage véritablement à partir de ce lundi.
Tension électorale
Mais les propos violents tenus lors des premiers meetings font monter la tension électorale. Mohamed Al Mansour, enseignant à l'université de Niamey : « Notre campagne est en train de développer des arguments, de mon point de vue, que nous ne connaissons pas, des arguments liés aux villages, à l’ethnie. Nous pensons que c’est très bas. Et nous n’entendons pas de leaders politiques sortir pour dénoncer ces pratiques. »
Appels pour des élections apaisées
Pour ce second tour, Niamey ne ressemble pas à une ville en campagne, les deux candidats n’ont pas encore tenu leur meeting. Haman Hasmane, un observateur de la vie politique nigérienne : « Les gens doivent se ressaisir, revenir au programme. Chacun n’a qu’à décliner. Et c’est pour cela qu’il y a le face-à -face qui a été prévu par le co-régulateur. Malheureusement, cela n’aura pas lieu, mais nous sommes restés sur notre soif ». Les appels pour des élections apaisées se multiplient dans le pays.
Tension électorale
Mais les propos violents tenus lors des premiers meetings font monter la tension électorale. Mohamed Al Mansour, enseignant à l'université de Niamey : « Notre campagne est en train de développer des arguments, de mon point de vue, que nous ne connaissons pas, des arguments liés aux villages, à l’ethnie. Nous pensons que c’est très bas. Et nous n’entendons pas de leaders politiques sortir pour dénoncer ces pratiques. »
Appels pour des élections apaisées
Pour ce second tour, Niamey ne ressemble pas à une ville en campagne, les deux candidats n’ont pas encore tenu leur meeting. Haman Hasmane, un observateur de la vie politique nigérienne : « Les gens doivent se ressaisir, revenir au programme. Chacun n’a qu’à décliner. Et c’est pour cela qu’il y a le face-à -face qui a été prévu par le co-régulateur. Malheureusement, cela n’aura pas lieu, mais nous sommes restés sur notre soif ». Les appels pour des élections apaisées se multiplient dans le pays.