Aucun des vignt-sept (27) candidats ne franchirait la barre des 50% nécessaires pour l’emporter dès le premier tour, selon cette étude datée du 19 juillet et réalisée sur 5.408 électeurs potentiels à laquelle « La Lettre du Continent a eu accès ». Il faut noter que cette étude d’opinion est l’une des plus importantes jamais effectuées au Mali.
Selon nos confrères de « La Lettre du Continent », elle (étude) a été menée selon la méthode des quotas basée sur le sexe, l’âge, le niveau d’éducation et la catégorie socioprofessionnelle. Par ailleurs si ces sondages, qu’il faut prendre avec prudence, se confirment, les Maliens devraient se rendre de nouveau aux urnes, le 11 août, afin de départager IBK et Soumaïla Cissé. Ce scénario n’est pas sans risque pour l’ancien premier ministre d’Alpha Oumar Konaré, le plein de voix dès le premier tour risquant de l’affaiblir face à une vaste coalition « TSIBK » - Tout sauf IBK, à l’occasion du second tour. « IBK » en est à sa troisième tentative, après les échecs aux présidentielles de 2002 et 2007.
Selon nos confrères de « La Lettre du Continent », elle (étude) a été menée selon la méthode des quotas basée sur le sexe, l’âge, le niveau d’éducation et la catégorie socioprofessionnelle. Par ailleurs si ces sondages, qu’il faut prendre avec prudence, se confirment, les Maliens devraient se rendre de nouveau aux urnes, le 11 août, afin de départager IBK et Soumaïla Cissé. Ce scénario n’est pas sans risque pour l’ancien premier ministre d’Alpha Oumar Konaré, le plein de voix dès le premier tour risquant de l’affaiblir face à une vaste coalition « TSIBK » - Tout sauf IBK, à l’occasion du second tour. « IBK » en est à sa troisième tentative, après les échecs aux présidentielles de 2002 et 2007.