Vêtus en uniforme ou en civil, des militaires ont fait la queue sous un soleil de plomb dans ce bureau de vote en plein air à Accra. Pour Tacey, jeune trentenaire, le vote est un devoir civique.
« Nous pensons que c’est nécessaire car peut-être que celui qui est au pouvoir ne répond pas à nos attentes ou peut-être que nous voudrions qu’il en fasse davantage pour nous. »
Pas question pourtant pour cette jeune militaire de s’épancher sur son choix du candidat. « Ah non, s’il vous plait, je ne peux pas répondre pour des raisons de sécurité, et d’ailleurs je ne suis pas seule ici. »
Dans la queue : des pompiers, des agents d’immigration, et des journalistes. Ils étaient environ 100 000 à voter par anticipation.
Un berceau de la démocratie
Un vote qui, pour Ashanti Frimpong , assesseur dans un bureau, conforte la réputation du Ghana. Celle d'un berceau de la démocratie en Afrique. « À chaque fois que nous votons, tout le monde se rend aux urnes sans hésitation. Ce qui m’importe, c’est d’avoir une élection paisible. Nous voulons que le vainqueur soit déclaré sans accroc afin que ce soit tout le Ghana qui gagne et non pas un seul parti politique. »
Douze candidats sont en lice, dont le président sortant Nana Akufo-Addo et son principal rival et prédécesseur John Dramani Mahama.
Le scrutin s’annonce serré, comme en témoigne le nombre important d’affiches électorales des deux principaux candidats pour tenter de convaincre les derniers indécis.
« Nous pensons que c’est nécessaire car peut-être que celui qui est au pouvoir ne répond pas à nos attentes ou peut-être que nous voudrions qu’il en fasse davantage pour nous. »
Pas question pourtant pour cette jeune militaire de s’épancher sur son choix du candidat. « Ah non, s’il vous plait, je ne peux pas répondre pour des raisons de sécurité, et d’ailleurs je ne suis pas seule ici. »
Dans la queue : des pompiers, des agents d’immigration, et des journalistes. Ils étaient environ 100 000 à voter par anticipation.
Un berceau de la démocratie
Un vote qui, pour Ashanti Frimpong , assesseur dans un bureau, conforte la réputation du Ghana. Celle d'un berceau de la démocratie en Afrique. « À chaque fois que nous votons, tout le monde se rend aux urnes sans hésitation. Ce qui m’importe, c’est d’avoir une élection paisible. Nous voulons que le vainqueur soit déclaré sans accroc afin que ce soit tout le Ghana qui gagne et non pas un seul parti politique. »
Douze candidats sont en lice, dont le président sortant Nana Akufo-Addo et son principal rival et prédécesseur John Dramani Mahama.
Le scrutin s’annonce serré, comme en témoigne le nombre important d’affiches électorales des deux principaux candidats pour tenter de convaincre les derniers indécis.