En effet, le 3 novembre dernier, le Chef d'État a signé un décret mettant fin aux fonctions des membres de la Cena, l'organe qui contrôle et supervise l'ensemble des opérations électorales et référendaires au Sénégal
Selon Ousmane Kane, «à trois mois du scrutin, changer les règles du jeu de façon unilatérale, limoger ceux qui doivent assurer l'arbitrage du processus électoral, c’est jouer avec le feu. À force de jouer avec le feu, on finit par se brûler. À force de jouer avec le feu, on allume, on enflamme et on attise des situations qui pourraient être mieux gérées», alerte-t-il
C’est pour cette raison qu’il s’insurge contre «les tripatouillages de dernière minute et l’incertitude qui persiste quant à la participation de certains acteurs politiques risquent d’exacerber les tensions existantes et de déclencher des violences électorales que nous pouvons éviter».
Par ailleurs, le candidat investi du Mouvement citoyen «Union sacrée du Sénégal» constate que le candidat désigné du régime, l’actuel Premier ministre, mène, en ce moment ce qui ressemble en tous points à une campagne électorale avant l’heure, au moment où le président de la République participe à des sommets en Europe.
. Ainsi, s’inquiète-t-il : «Comme d’autres, je ne peux m’empêcher de m’interroger et de me demander : entre un Président en voyage et un Premier ministre candidat en tournée ou en campagne, qui aujourd’hui gère les affaires courantes et pressantes du Sénégal?»
Extraits de EnQuete
Selon Ousmane Kane, «à trois mois du scrutin, changer les règles du jeu de façon unilatérale, limoger ceux qui doivent assurer l'arbitrage du processus électoral, c’est jouer avec le feu. À force de jouer avec le feu, on finit par se brûler. À force de jouer avec le feu, on allume, on enflamme et on attise des situations qui pourraient être mieux gérées», alerte-t-il
C’est pour cette raison qu’il s’insurge contre «les tripatouillages de dernière minute et l’incertitude qui persiste quant à la participation de certains acteurs politiques risquent d’exacerber les tensions existantes et de déclencher des violences électorales que nous pouvons éviter».
Par ailleurs, le candidat investi du Mouvement citoyen «Union sacrée du Sénégal» constate que le candidat désigné du régime, l’actuel Premier ministre, mène, en ce moment ce qui ressemble en tous points à une campagne électorale avant l’heure, au moment où le président de la République participe à des sommets en Europe.
. Ainsi, s’inquiète-t-il : «Comme d’autres, je ne peux m’empêcher de m’interroger et de me demander : entre un Président en voyage et un Premier ministre candidat en tournée ou en campagne, qui aujourd’hui gère les affaires courantes et pressantes du Sénégal?»
Extraits de EnQuete