Ainsi, pour le Sénateur Risch, au moment où ‘’la trajectoire de la démocratie en Afrique de l'Ouest vacille, tous les regards seront tournés vers les élections du 25 février au Sénégal, alors que les citoyens de ce poids ce grand pays choisissent un nouveau Président’’.
“Même si l'engagement du Président Sall à ne pas briguer un troisième mandat anticonstitutionnel a été largement applaudi, je reste préoccupé par la fermeture de l'espace politique, la répression de l'opposition politique et le manque de transparence des processus électoraux. J'espère qu'une élection démocratique en février solidifiera davantage les relations entre les États-Unis et le Sénégal en tant qu'allié et partenaire”, a-t-il ajouté.
Pour son collègue et non moins président de commission sénatoriale des affaires étrangère, M. Cardin, “le Sénégal est depuis des décennies l'une des démocraties les plus stables d'Afrique, avec une longue tradition de transferts de pouvoir pacifiques et démocratiques ».
Mais, a-t-il regretté, “les allégations crédibles selon lesquelles l'administration sénégalaise actuelle aurait restreint la liberté d'expression et de la presse, utilisé le système judiciaire pour cibler des opposants politiques et des militants de la société civile et mis en œuvre des modifications de la loi électorale destinées à réduire la compétitivité des partis et des candidats de l'opposition sont profondément troublantes.
Les États-Unis doivent surveiller de près le déroulement des élections de l'année prochaine et prendre des mesures pour demander des comptes à ceux qui sapent la démocratie au Sénégal. Je suis solidaire du peuple sénégalais et de ses aspirations démocratiques’’.
En outre, “la résolution reconnaît le Sénégal comme l'une des démocraties les plus stables d'Afrique et salue le travail des organisations de la société civile sénégalaise dédiées à la réforme électorale. Il exprime également sa solidarité avec le peuple sénégalais et l'encourage à exercer son droit de vote et à s'abstenir de tout acte de violence lors des prochaines élections’’, précise-t-on.
“Même si l'engagement du Président Sall à ne pas briguer un troisième mandat anticonstitutionnel a été largement applaudi, je reste préoccupé par la fermeture de l'espace politique, la répression de l'opposition politique et le manque de transparence des processus électoraux. J'espère qu'une élection démocratique en février solidifiera davantage les relations entre les États-Unis et le Sénégal en tant qu'allié et partenaire”, a-t-il ajouté.
Pour son collègue et non moins président de commission sénatoriale des affaires étrangère, M. Cardin, “le Sénégal est depuis des décennies l'une des démocraties les plus stables d'Afrique, avec une longue tradition de transferts de pouvoir pacifiques et démocratiques ».
Mais, a-t-il regretté, “les allégations crédibles selon lesquelles l'administration sénégalaise actuelle aurait restreint la liberté d'expression et de la presse, utilisé le système judiciaire pour cibler des opposants politiques et des militants de la société civile et mis en œuvre des modifications de la loi électorale destinées à réduire la compétitivité des partis et des candidats de l'opposition sont profondément troublantes.
Les États-Unis doivent surveiller de près le déroulement des élections de l'année prochaine et prendre des mesures pour demander des comptes à ceux qui sapent la démocratie au Sénégal. Je suis solidaire du peuple sénégalais et de ses aspirations démocratiques’’.
En outre, “la résolution reconnaît le Sénégal comme l'une des démocraties les plus stables d'Afrique et salue le travail des organisations de la société civile sénégalaise dédiées à la réforme électorale. Il exprime également sa solidarité avec le peuple sénégalais et l'encourage à exercer son droit de vote et à s'abstenir de tout acte de violence lors des prochaines élections’’, précise-t-on.