Dans un contexte où le report de l’élection présidentielle est agité en raison de nombreux recours introduits par les candidats recalés à l’étape du parrainage, le président de la coalition «Gueum Sa Bopp», Bougane Gueye Dany, demande que les candidats «injustement» recalés lors du parrainage soient rétablis dans leurs droits. Il rejette catégoriquement l’idée de reporter l’élection prévue pour le 25 février 2024. En tant que membre actif du «Collectif des Candidats Invalidés au Parrainage», le candidat de la coalition «Gueum Sa Bopp» se réjouit que huit candidats admis au parrainage aient rejoint le collectif qu’il a formé avec d’autres « spoliés ». Des propos rapportés par LeTémoin.
Selon Bougane Gueye Dany, ces candidats sont convaincus que la lutte doit continuer, surtout en raison des injustices subies par d’autres candidats recalés. De plus, le président de «Gueum Sa Bopp» est d’avis que l’opposition doit œuvrer pour que le président de Pastef, Ousmane Sonko, puisse participer à l’élection présidentielle de février prochain. Pour atteindre cet objectif, Bougane Gueye Dany demande l’arrêt du processus en cours, tout en rejetant l’idée de reporter l’élection présidentielle du 25 février prochain. Selon lui, il y a suffisamment de temps d’ici là pour repartir sur de bonnes bases avec un fichier électoral fiable à remettre entre les mains du Conseil constitutionnel. Il insiste en déclarant : «Ce parrainage est une catastrophe car le fichier électoral est dans la rue. Accuser des candidats d’avoir manipulé ce fichier est inacceptable».
Selon Bougane Gueye Dany, ces candidats sont convaincus que la lutte doit continuer, surtout en raison des injustices subies par d’autres candidats recalés. De plus, le président de «Gueum Sa Bopp» est d’avis que l’opposition doit œuvrer pour que le président de Pastef, Ousmane Sonko, puisse participer à l’élection présidentielle de février prochain. Pour atteindre cet objectif, Bougane Gueye Dany demande l’arrêt du processus en cours, tout en rejetant l’idée de reporter l’élection présidentielle du 25 février prochain. Selon lui, il y a suffisamment de temps d’ici là pour repartir sur de bonnes bases avec un fichier électoral fiable à remettre entre les mains du Conseil constitutionnel. Il insiste en déclarant : «Ce parrainage est une catastrophe car le fichier électoral est dans la rue. Accuser des candidats d’avoir manipulé ce fichier est inacceptable».