Le Président Macky Sall devra user de beaucoup d’autorité pour imposer son allié socialiste, Ousmane Tanor Dieng, pressenti à la présidence du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (Hcct). En effet, des apéristes regroupés autour de la Plateforme des républicains pour l’émergence de la Vallée qui se sont réunis, hier, dans les locaux du ministre d’Etat et directeur des structures de l’Apr, Mbaye Ndiaye, récusent le secrétaire général du Ps et affirment que ce poste doit leur revenir en tant qu’apéristes. « Ousmane Tanor Dieng est allié, nous saluons son engagement aux côtés du Président Macky Sall, mais nous estimons qu’il ne doit pas diriger cette institution », affirme Thiaye Diaby, conseiller du ministre Mbaye Ndiaye, 1 er secrétaire élu du Conseil départemental de Podor.
Lors du Conseil des ministres d’hier, le président de la République a appelé au renforcement du dialogue entre l’Etat et les Collectivités territoriales, afin d’asseoir la territorialisation des politiques publiques et de procéder à l’actualisation de la loi 72-02 du 1er février 1972 relative à l’organisation de l’administration territoriale et du code général des Collectivités territoriales, ainsi qu’à la finalisation du projet du projet de loi relatif au Haut conseil des collectivités territoriales.
Le projet de loi organique du Hcct précise qu’il aura « un avis sur toute politique relative à la décentralisation et au développement territorial ». Plus spécifiquement, le Hcct « concourt à la concertation et au dialogue entre l’Etat et les collectivités territoriales », à la promotion du « développement de bonnes pratiques dans la gestion des collectivités territoriales », à l’étude de « moyens à mettre en œuvre pour promouvoir le développement des collectivités territoriales et le bon fonctionnement de leurs organes ». « Nous souhaitons toujours la poursuite du compagnonnage avec le Ps, mais nous estimons que cette institution est trop stratégique pour être confiée à des alliées. Pour l’avenir, la présidence du Hcct doit échoir à un jeune de la Vallée », poursuit Thiaye Diaby qui dirige cette plateforme dont l’objectif est de faire adhérer la 3ème génération de la diaspora.
Lors du Conseil des ministres d’hier, le président de la République a appelé au renforcement du dialogue entre l’Etat et les Collectivités territoriales, afin d’asseoir la territorialisation des politiques publiques et de procéder à l’actualisation de la loi 72-02 du 1er février 1972 relative à l’organisation de l’administration territoriale et du code général des Collectivités territoriales, ainsi qu’à la finalisation du projet du projet de loi relatif au Haut conseil des collectivités territoriales.
Le projet de loi organique du Hcct précise qu’il aura « un avis sur toute politique relative à la décentralisation et au développement territorial ». Plus spécifiquement, le Hcct « concourt à la concertation et au dialogue entre l’Etat et les collectivités territoriales », à la promotion du « développement de bonnes pratiques dans la gestion des collectivités territoriales », à l’étude de « moyens à mettre en œuvre pour promouvoir le développement des collectivités territoriales et le bon fonctionnement de leurs organes ». « Nous souhaitons toujours la poursuite du compagnonnage avec le Ps, mais nous estimons que cette institution est trop stratégique pour être confiée à des alliées. Pour l’avenir, la présidence du Hcct doit échoir à un jeune de la Vallée », poursuit Thiaye Diaby qui dirige cette plateforme dont l’objectif est de faire adhérer la 3ème génération de la diaspora.