Les raisons pour lesquelles la police, depuis quelques temps, bunkerise la Cité Keur Gorgui et le domicile d'Ousmane Sonko, ont été révélées.
La Police parle d’une mission régalienne, visant essentiellement à la sécurité du «pastefien» en chef.
D'aprés "L'Observateur", les autorités policières sous le couvert de l’anonymat, ont précisé d’emblée que ce dispositif, levé lundi dernier, n’a été maintenu que sur 4 jours. L’objectif, note-t-on, «était de sécuriser les lieux de toutes velléités et d’éviter toutes formes de rassemblement illégal».
Selon toujours des sources policières, «il n’y a vraiment pas de quoi fouetter un chat. La présence de ce dispositif aux abords du domicile d’Ousmane Sonko, s’inscrit en droite ligne des missions régaliennes de la police».
Seulement, au sein de la haute hiérarchie de la police, «il s’agit d’un dispositif de sécurité conjoncturel. Il a été déployé le 9 février dernier à la cité Keur Gorgui, dans un contexte particulier de tension, pour apporter une réponse ponctuelle et parer à toute éventualité».
Les sources du journal rappellent que «lorsque ce contexte de tension s’est rasséréné du côté de la Cité Keur Gorgui, le dispositif mixte mis en place a été levé, lundi dernier».
Un argument conforté par des sources policières, qui se sont voulues plus loquaces. «La sécurité des citoyens est du ressort de l’État. Dans un contexte de tension et de menaces en tout genre, autour du leader du Pastef, la police compétente dans le quartier où réside Ousmane Sonko, ne peut se permettre de rester les bras croisés. Prenant en compte toutes les probabilités et pour parer à toute éventualité, il fallait réquisitionner aux abords de la maison d'Ousmane Sonko, un dispositif de sécurité et de dissuasion. Et ce dispositif n’est pas déployé contre le leader de Pastef, mais au contraire, pour assurer sa sécurité.»
A la question relative à la restriction des libertés du leader de Pastef, la source policière se veut formelle. «Il est vrai que les éléments déployés sur place escortent Ousmane Sonko dès qu’il sort de chez lui. Ils le suivent sur quelques mètres avant de le laisser continuer. Il ne s’agit pas pour la police, de restreindre sa liberté de mouvement. C’est plutôt pour éviter qu’il ne s’en suive des rassemblements non autorisés sur la voie publique.»
La Police parle d’une mission régalienne, visant essentiellement à la sécurité du «pastefien» en chef.
D'aprés "L'Observateur", les autorités policières sous le couvert de l’anonymat, ont précisé d’emblée que ce dispositif, levé lundi dernier, n’a été maintenu que sur 4 jours. L’objectif, note-t-on, «était de sécuriser les lieux de toutes velléités et d’éviter toutes formes de rassemblement illégal».
Selon toujours des sources policières, «il n’y a vraiment pas de quoi fouetter un chat. La présence de ce dispositif aux abords du domicile d’Ousmane Sonko, s’inscrit en droite ligne des missions régaliennes de la police».
Seulement, au sein de la haute hiérarchie de la police, «il s’agit d’un dispositif de sécurité conjoncturel. Il a été déployé le 9 février dernier à la cité Keur Gorgui, dans un contexte particulier de tension, pour apporter une réponse ponctuelle et parer à toute éventualité».
Les sources du journal rappellent que «lorsque ce contexte de tension s’est rasséréné du côté de la Cité Keur Gorgui, le dispositif mixte mis en place a été levé, lundi dernier».
Un argument conforté par des sources policières, qui se sont voulues plus loquaces. «La sécurité des citoyens est du ressort de l’État. Dans un contexte de tension et de menaces en tout genre, autour du leader du Pastef, la police compétente dans le quartier où réside Ousmane Sonko, ne peut se permettre de rester les bras croisés. Prenant en compte toutes les probabilités et pour parer à toute éventualité, il fallait réquisitionner aux abords de la maison d'Ousmane Sonko, un dispositif de sécurité et de dissuasion. Et ce dispositif n’est pas déployé contre le leader de Pastef, mais au contraire, pour assurer sa sécurité.»
A la question relative à la restriction des libertés du leader de Pastef, la source policière se veut formelle. «Il est vrai que les éléments déployés sur place escortent Ousmane Sonko dès qu’il sort de chez lui. Ils le suivent sur quelques mètres avant de le laisser continuer. Il ne s’agit pas pour la police, de restreindre sa liberté de mouvement. C’est plutôt pour éviter qu’il ne s’en suive des rassemblements non autorisés sur la voie publique.»