Pour cause, ils sont envahis par des herbes appelés typhas. Les typhas occupent les surfaces des bassins. Selon les riverains, à l’intérieur des bassins, on n'y trouve du tout.
«Il y a des chiens dans les bassins à cause des typhas. Pendant la nuit, ils sortent. Les reptiles, n'en parlons pas. Quand il fait très chaud, ils sortent pour entrer dans les maisons. Vous voyez que les populations, notamment les riverains, ne sont pas en sécurité, Ils sont en danger», alerte Issa Sagna, président de l'Association pour le développement de la famille.
«Nous avons surtout peur pour nos enfants qui jouent à côté des bassins et parfois, qui y entrent pour y récupérer leur ballon de football», soupire M. Sagna.
Pour cette riveraine du bassin de Djeddah, du nom de Famata Ndiaye, les riverains souffrent un véritable calvaire. «Les bourgeons des typhas polluent nos nourritures, nos linges dans les maisons. S'ils se collent aux yeux, ça les rend rougeâtres. Certains disent qu’ils peuvent rendre aveugle. Franchement, nous souffrons énormément», se désole la mère de famille.
Le cocktail est explosif. L'odeur nauséabonde des eaux usées domestiques déversées à l'intérieur, mélangées aux ordures, donnent une atmosphère polluée.
«Nous exigeons de l'Office national de l'assainissement du Sénégal (Onas), de faire le faucardage des bassins. Les typhas ne peuvent plus rester ici. L'hivernage approche. La peur est totale chez les riverains des bassins. Si rien n'est fait nous n'excluons pas de sortir dans les rues», avertit M. Sagna.
Tribune
«Il y a des chiens dans les bassins à cause des typhas. Pendant la nuit, ils sortent. Les reptiles, n'en parlons pas. Quand il fait très chaud, ils sortent pour entrer dans les maisons. Vous voyez que les populations, notamment les riverains, ne sont pas en sécurité, Ils sont en danger», alerte Issa Sagna, président de l'Association pour le développement de la famille.
«Nous avons surtout peur pour nos enfants qui jouent à côté des bassins et parfois, qui y entrent pour y récupérer leur ballon de football», soupire M. Sagna.
Pour cette riveraine du bassin de Djeddah, du nom de Famata Ndiaye, les riverains souffrent un véritable calvaire. «Les bourgeons des typhas polluent nos nourritures, nos linges dans les maisons. S'ils se collent aux yeux, ça les rend rougeâtres. Certains disent qu’ils peuvent rendre aveugle. Franchement, nous souffrons énormément», se désole la mère de famille.
Le cocktail est explosif. L'odeur nauséabonde des eaux usées domestiques déversées à l'intérieur, mélangées aux ordures, donnent une atmosphère polluée.
«Nous exigeons de l'Office national de l'assainissement du Sénégal (Onas), de faire le faucardage des bassins. Les typhas ne peuvent plus rester ici. L'hivernage approche. La peur est totale chez les riverains des bassins. Si rien n'est fait nous n'excluons pas de sortir dans les rues», avertit M. Sagna.
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