L’Université El Hadj Ibrahima Niasse du Sine Saloum (Ussein) a organisé, ce matin, la première rencontre avec ses partenaires scientifiques et techniques internationaux. Prévue pour deux jours, cette rencontre, qui a vu la participation des représentants d’instituts et d’universités venus de l’Afrique mais aussi de l’Europe et des Etats Unis est, selon le recteur de l’Ussein, d’une importance majeure pour l’université qui préconise une démarche nouvelle. « Nous avons une vocation d’être une université d’excellence, il est important que nous puissions inviter des universités d’excellence de différents continents pour échanger avec eux sur ce que nous avons retenus de faire », a dit Amadou Tidiane Guiro.
Dans la même perspective, le représentant du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Ibrahima Guèye, de préciser que l’initiative permet « de capitaliser les conventions signées par l’Université avec un certain nombre de partenaires qui sont dans des instituts de recherche ou dans des universités de très haute renommée et qui devront permettre de capitaliser les expériences et les bonnes pratiques au niveau de ces instituts et universités et pouvoir permettre à l’Ussein d’être opérationnelle et de pouvoir s’aligner sur les standards internationaux et pouvoir permettre de répondre aux attentes et à la vision du président de faire de l’agriculture une supériorité dans le cadre du Pse ».
Pour ce qui est du démarrage de l’université, il précisera que « le gouvernement comme le ministère s’engagent à mener toutes les diligences nécessaires pour que cette université puisse ouvrir le plus rapidement possible », parce que, « de l’ouverture de cette université pourrait dépendre une bonne partie des décisions qui seront nécessaires à notre pays pour pouvoir faire les réformes et les actions nécessaires en vue de conférer à notre agriculture toute la place centrale qu’elle mérite au sein de notre dispositif dans la voie de l’émergence ».
Une information confirmée par le recteur de l’Ussein qui informe qu’au plan pédagogique, ils sont quasiment prêts, au niveau de leur offre de formation. «Nous pouvons dire que, pour tous les enseignements que nous voulons lancer, nous avons le personnel enseignant qui, aujourd’hui, est prêt », a indiqué M. Guiro qui ajoute : « Il y aura un processus de recrutement progressif ; en fonction des nouvelles échéances en termes d’ouverture dans la mesure où il y a eu un retard dans la construction qui amené le chef de l’Etat à demander à ce que la procédure, qui était engagée, soit résiliée dans le sens d’une nouvelle procédure qui devra être accélérée pour qu’on puisse construire l’université dans les meilleurs délais de façon à l’ouvrir ».
Dans la même perspective, le représentant du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Ibrahima Guèye, de préciser que l’initiative permet « de capitaliser les conventions signées par l’Université avec un certain nombre de partenaires qui sont dans des instituts de recherche ou dans des universités de très haute renommée et qui devront permettre de capitaliser les expériences et les bonnes pratiques au niveau de ces instituts et universités et pouvoir permettre à l’Ussein d’être opérationnelle et de pouvoir s’aligner sur les standards internationaux et pouvoir permettre de répondre aux attentes et à la vision du président de faire de l’agriculture une supériorité dans le cadre du Pse ».
Pour ce qui est du démarrage de l’université, il précisera que « le gouvernement comme le ministère s’engagent à mener toutes les diligences nécessaires pour que cette université puisse ouvrir le plus rapidement possible », parce que, « de l’ouverture de cette université pourrait dépendre une bonne partie des décisions qui seront nécessaires à notre pays pour pouvoir faire les réformes et les actions nécessaires en vue de conférer à notre agriculture toute la place centrale qu’elle mérite au sein de notre dispositif dans la voie de l’émergence ».
Une information confirmée par le recteur de l’Ussein qui informe qu’au plan pédagogique, ils sont quasiment prêts, au niveau de leur offre de formation. «Nous pouvons dire que, pour tous les enseignements que nous voulons lancer, nous avons le personnel enseignant qui, aujourd’hui, est prêt », a indiqué M. Guiro qui ajoute : « Il y aura un processus de recrutement progressif ; en fonction des nouvelles échéances en termes d’ouverture dans la mesure où il y a eu un retard dans la construction qui amené le chef de l’Etat à demander à ce que la procédure, qui était engagée, soit résiliée dans le sens d’une nouvelle procédure qui devra être accélérée pour qu’on puisse construire l’université dans les meilleurs délais de façon à l’ouvrir ».