La direction estime que Carrefour Médical mérite d'être reconnu en tant qu'entreprise responsable, soulignant qu'elle "a contribué de manière significative à réduire le coût des soins pour les patients atteints d'insuffisance rénale depuis 2011, faisant passer le prix du kit de 65 000 à 39 000 francs CFA". Ils étayent cette affirmation en se référant à la Décision ARMP n° 210/11/ARMP/CRD du 17 octobre 2011 du Comité de Règlement des Différends de l’ARMP. Ils font remarquer que "l'attribution du marché à Carrefour Médical élimine les obstacles à l'adjudication concurrentielle de ce type de marché et améliore de manière décisive l'accès des patients hémodialysés aux soins en réduisant de plus de 30% les coûts des kits."
De plus, ils mettent en avant l'arrêt de la Cour Suprême du 1er août 2012, suite au recours de l'A.S.H.I.R. contre la décision n°210/11/ARMP/CRD du 17 octobre 2011 du Comité de Règlement des Différends de l’ARMP. La décision reconnaît que "le caractère dangereux du produit n'étant pas établi, et l'attribution du marché à Carrefour Médical rendant les médicaments plus accessibles à un prix plus bas, l'objectif d'intérêt général est ainsi atteint ; par conséquent, l'argument est infondé." Ce ne sont là que quelques-unes des réalisations de Carrefour Médical, qui "a également contribué à l'accessibilité géographique de la dialyse à travers le pays en augmentant le nombre de centres de dialyse de un à 7 et maintenant, avec la concurrence, il y a environ 30 centres de dialyse."
Ils soulignent que "au Sénégal, le prix du kit inclut l'investissement dans l'équipement de dialyse, contrairement à d'autres pays de la sous-région où l'investissement est directement assuré par l'État. De plus, les kits de dialyse ne peuvent pas faire l'objet de surfacturation car il n'y a pas de monopole. Les kits sont fournis par 3 sociétés sénégalaises, à savoir Carrefour Médical, Diminter et ACD." De plus, lors d'une conciliation avec le Ministère et l'Agence de Couverture Maladie Universelle après le défaut de paiement de l'État, devant l'ARMP en février 2021, les fournisseurs ont accepté de fixer le prix du Kit à 35 000 FCFA avec l'engagement du Ministère de la Santé, via son démembrement, la PNA, de respecter les modalités de paiement, de prendre en charge la maintenance des équipements et d'optimiser les générateurs de dialyse pour permettre un troisième branchement, entre autres conditions.
Pour eux, il faut une entreprise socialement responsable pour supporter les charges financières. "Malgré la dette énorme que l'État sénégalais lui doit et consciente de la sensibilité du domaine dans lequel elle opère, Carrefour Médical reste engagée à continuer à soutenir le Ministère de la Santé pour un système de santé accessible et durable. À cet égard, Carrefour Médical est en train de finaliser la création d'une usine de fabrication de consommables de dialyse, qui contribuera significativement à la réduction des coûts des kits et facilitera l'accès à la dialyse pour les populations touchées par cette pathologie au Sénégal et dans la sous-région," conclut la direction.
De plus, ils mettent en avant l'arrêt de la Cour Suprême du 1er août 2012, suite au recours de l'A.S.H.I.R. contre la décision n°210/11/ARMP/CRD du 17 octobre 2011 du Comité de Règlement des Différends de l’ARMP. La décision reconnaît que "le caractère dangereux du produit n'étant pas établi, et l'attribution du marché à Carrefour Médical rendant les médicaments plus accessibles à un prix plus bas, l'objectif d'intérêt général est ainsi atteint ; par conséquent, l'argument est infondé." Ce ne sont là que quelques-unes des réalisations de Carrefour Médical, qui "a également contribué à l'accessibilité géographique de la dialyse à travers le pays en augmentant le nombre de centres de dialyse de un à 7 et maintenant, avec la concurrence, il y a environ 30 centres de dialyse."
Ils soulignent que "au Sénégal, le prix du kit inclut l'investissement dans l'équipement de dialyse, contrairement à d'autres pays de la sous-région où l'investissement est directement assuré par l'État. De plus, les kits de dialyse ne peuvent pas faire l'objet de surfacturation car il n'y a pas de monopole. Les kits sont fournis par 3 sociétés sénégalaises, à savoir Carrefour Médical, Diminter et ACD." De plus, lors d'une conciliation avec le Ministère et l'Agence de Couverture Maladie Universelle après le défaut de paiement de l'État, devant l'ARMP en février 2021, les fournisseurs ont accepté de fixer le prix du Kit à 35 000 FCFA avec l'engagement du Ministère de la Santé, via son démembrement, la PNA, de respecter les modalités de paiement, de prendre en charge la maintenance des équipements et d'optimiser les générateurs de dialyse pour permettre un troisième branchement, entre autres conditions.
Pour eux, il faut une entreprise socialement responsable pour supporter les charges financières. "Malgré la dette énorme que l'État sénégalais lui doit et consciente de la sensibilité du domaine dans lequel elle opère, Carrefour Médical reste engagée à continuer à soutenir le Ministère de la Santé pour un système de santé accessible et durable. À cet égard, Carrefour Médical est en train de finaliser la création d'une usine de fabrication de consommables de dialyse, qui contribuera significativement à la réduction des coûts des kits et facilitera l'accès à la dialyse pour les populations touchées par cette pathologie au Sénégal et dans la sous-région," conclut la direction.