‘’Je suis pour un mandat u nique de sept ans.‘’ Se définissant comme un réformateur, le mathématicien a soutenu qu’il n’aura pas besoin de plus d’un manda pour arriver à ses fins. Pour lui, sept ans suffisent : ’’Je suis un réformateur. Par conséquent, je ne regarde pas le renouvellement de mon mandat. Je regarde ce que je peux faire pour transformer le pays, le mettre sur les rails et permettre à ceux qui vont venir après, de pouvoir continuer. Partout où je suis passé, j’ai changé les choses. Personnellement, je suis pour un mandat de sept ans unique.’’
Pour mieux éclairer la lanterne des concitoyens sur son programme, l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur a expliqué les raisons de son engagement, dans un tel combat pour la conquête du pouvoir suprême.
‘’Après ce second et dernier mandat présidentiel qui a fait basculer notre pays dans un état qui nous désespère, une paupérisation qu’on peine à maquiller par des statistiques, un autoritarisme devenu brutal, des scandales qui infléchissent de plus en plus les vertus qui nous sont chères, une violence de moins en moins supportable, il est devenu urgent d’agir’’, a-t-il avancé comme motifs de sa candidature.
Et de décliner le programme qu’il réalisera s’il bénéficie des suffrages de ses compatriotes. ‘’Le contrat électoral que je vous propose, a pour socle l’éducation, la formation professionnelle, l’enseignement supérieur, la science, la technologie, la recherche, l’innovation, la santé, la culture, le sport, l’économie, la souveraineté agricole, la souveraineté sur nos ressources naturelles et extractives, le renforcement des institutions, une administration moderne, transparente et efficace, mise au service de la formation d’une citoyenne et d’un citoyen nouveau, enracinés dans leurs valeurs, patriotes, ouverts aux apports positifs du monde, cultivés, créatifs et innovants’’, a-t-il décliné.
Le Témoin
Pour mieux éclairer la lanterne des concitoyens sur son programme, l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur a expliqué les raisons de son engagement, dans un tel combat pour la conquête du pouvoir suprême.
‘’Après ce second et dernier mandat présidentiel qui a fait basculer notre pays dans un état qui nous désespère, une paupérisation qu’on peine à maquiller par des statistiques, un autoritarisme devenu brutal, des scandales qui infléchissent de plus en plus les vertus qui nous sont chères, une violence de moins en moins supportable, il est devenu urgent d’agir’’, a-t-il avancé comme motifs de sa candidature.
Et de décliner le programme qu’il réalisera s’il bénéficie des suffrages de ses compatriotes. ‘’Le contrat électoral que je vous propose, a pour socle l’éducation, la formation professionnelle, l’enseignement supérieur, la science, la technologie, la recherche, l’innovation, la santé, la culture, le sport, l’économie, la souveraineté agricole, la souveraineté sur nos ressources naturelles et extractives, le renforcement des institutions, une administration moderne, transparente et efficace, mise au service de la formation d’une citoyenne et d’un citoyen nouveau, enracinés dans leurs valeurs, patriotes, ouverts aux apports positifs du monde, cultivés, créatifs et innovants’’, a-t-il décliné.
Le Témoin