En plus du coût financier, elles entravent la libre circulation des personnes et des biens. Elles imposent une certaine peur bleue aux populations, victimes de tracasseries pouvant conduire à des pertes en vies humaines.
Le déploiement impressionnant des forces de défense et de sécurité doit obéir à des exigences et à une démarche préalables, pour éviter d’impacter l’économie du pays et entraver la liberté de mouvement des personnes et de leurs biens. En période de tension ou de probables perturbations liées à des manifestations de foule, l’Etat devrait être plus regardant sur les moyens matériels et militaires à mettre à contribution.
Pr. Demba Moussa Dembélé estime en effet, que des dépenses énormes seraient faites pour la mobilité des véhicules des Fds en termes de carburant. Sans compter les indemnités des policiers et des gendarmes mobilisés des journées durant. D’après l’économiste, les populations très préoccupées par la quête persistante de pitance, pourraient être contraintes de ne plus pouvoir vaquer à leurs occupations habituelles ou circonstancielles.
Le déploiement de ces forces, imposant un blocage de certaines artères et ruelles, déplore-t-il, entraîne des retards de circulation et des pertes sèches. Les commerces également baissent souvent rideau.
Toutes les dépenses de l’Etat dans ce genre de situations constituent une énorme perte économique, regrettable dans des pays à économie faible. Convoquant les contraintes économiques mondiales, Pr. Dembélé estime que l’Etat du Sénégal devrait amoindrir ses dépenses inutiles. Donnant son avis sur l’affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr, l’économiste, sur la base de multiples témoignages, est d’avis que ce dossier est vide.
Malheureusement, regrette-t-il, le régime persiste dans sa volonté de gêner Ousmane Sonko dans sa marche vers le pouvoir. « Cette affaire coûte cher à la société sénégalaise. Déjà, les morts et les pertes matérielles inestimables coûtent cher au pays et l’image du pays. Elle détourne l’attention des problèmes réels. Ce n’est pas bon pour l’économie du pays », soupire en conclusion, Pr. Demba Moussa Dembélé.
Le déploiement impressionnant des forces de défense et de sécurité doit obéir à des exigences et à une démarche préalables, pour éviter d’impacter l’économie du pays et entraver la liberté de mouvement des personnes et de leurs biens. En période de tension ou de probables perturbations liées à des manifestations de foule, l’Etat devrait être plus regardant sur les moyens matériels et militaires à mettre à contribution.
Pr. Demba Moussa Dembélé estime en effet, que des dépenses énormes seraient faites pour la mobilité des véhicules des Fds en termes de carburant. Sans compter les indemnités des policiers et des gendarmes mobilisés des journées durant. D’après l’économiste, les populations très préoccupées par la quête persistante de pitance, pourraient être contraintes de ne plus pouvoir vaquer à leurs occupations habituelles ou circonstancielles.
Le déploiement de ces forces, imposant un blocage de certaines artères et ruelles, déplore-t-il, entraîne des retards de circulation et des pertes sèches. Les commerces également baissent souvent rideau.
Toutes les dépenses de l’Etat dans ce genre de situations constituent une énorme perte économique, regrettable dans des pays à économie faible. Convoquant les contraintes économiques mondiales, Pr. Dembélé estime que l’Etat du Sénégal devrait amoindrir ses dépenses inutiles. Donnant son avis sur l’affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr, l’économiste, sur la base de multiples témoignages, est d’avis que ce dossier est vide.
Malheureusement, regrette-t-il, le régime persiste dans sa volonté de gêner Ousmane Sonko dans sa marche vers le pouvoir. « Cette affaire coûte cher à la société sénégalaise. Déjà, les morts et les pertes matérielles inestimables coûtent cher au pays et l’image du pays. Elle détourne l’attention des problèmes réels. Ce n’est pas bon pour l’économie du pays », soupire en conclusion, Pr. Demba Moussa Dembélé.