«Sur le 3e mandat, les gens reviennent souvent là-dessus. Quand j’ai parlé la première fois en mars 2017, j’alertais sur ce qui pourrait se produire si on ne prenait pas suffisamment de précautions pour assurer une plus grande sécurité juridique. A l’époque, on nous disait que le Président avait verrouillé, qu’il n’était pas possible de faire plus de deux mandats.
J’avais dit : ‘’Attention ! On peut verrouiller encore davantage, en ajoutant une disposition transitoire.”» Le professeur de droit constitutionnel a tenu à préciser qu’il n’a «jamais dit que la loi, telle que rédigée, permettait un 3e mandat».
Au contraire, déclare-t-il, «j’alertais pour éviter ce qui est en train de se passer». D’ailleurs, a-t-il enchaîné, «je crois que vous m’avez entendu à nouveau il y a quelques semaines, à l’occasion d’un symposium. Je suis intervenu pour dire clairement ma position, que le président de la République (Macky Sall) est en train de faire son 2e et dernier mandat. Je l’ai dit sans ambiguïté».
J’avais dit : ‘’Attention ! On peut verrouiller encore davantage, en ajoutant une disposition transitoire.”» Le professeur de droit constitutionnel a tenu à préciser qu’il n’a «jamais dit que la loi, telle que rédigée, permettait un 3e mandat».
Au contraire, déclare-t-il, «j’alertais pour éviter ce qui est en train de se passer». D’ailleurs, a-t-il enchaîné, «je crois que vous m’avez entendu à nouveau il y a quelques semaines, à l’occasion d’un symposium. Je suis intervenu pour dire clairement ma position, que le président de la République (Macky Sall) est en train de faire son 2e et dernier mandat. Je l’ai dit sans ambiguïté».