Il s'agit d'une cause d'aggravation de la peine encourue. Au sens large, notamment en médecine, c'est la réitération d'une action néfaste. Aux dernières nouvelles, Jupiter, comme le surnomment ses proches et familiers, "risque gros". Autrement dit, d'aucuns croient savoir qu'il sera derechef inculpé et écroué pour les mêmes faits d'acte contre nature. Qui lui avait valu son emprisonnement. Ce qui est réugnant dans cet esclandre, n'en demeure pas moins la période dans laquelle il a voulu accomplir son vil acte charnel (encore avec un mâle à la fleur de l'âge). Il faudrait être d'une extrême mauvaise foi pour ne pas condamner ce transgresseur, qui a poussé le bouchon de l'gnominie jusqu'à vouloir se livrer à cette sale turpitude en plein mois de Ramadan. Soit, en commettant encore cet acte blamable, il est définitement classé en marge de la société, notre société assez, disons pour reprendre l'autre fortement chevillée aux valeurs morales et religieuses. Avec cette récidive, il est prouvé, qu'il n'est pas maitre de ses pulsions, autrement dit il est malade. Mais, comme pour toute maladie génétique , il existe un espoir à la nature suicidaire, à la pédophilie et à la dégénérescence homosexuelle. Il sera beau condamné, la sentence fut- elle aussi lourde, il récidivera. Encore. Tant que l'occasion se présentera, il ne s'en privera pas. Faudrai-il rappeler que sous nos cieux, la pratique homosexuelle, considérée comme une déchéance morale, spirituelle et éthique, est qualifiée comme étant le plus grave péché dans nos religions. Dans la palette des 70 péchés les plus graves dans l’Islam, elle occupe la 11e place derrière l’adultère.
