Les sœurs Diouf (K. et N.F) ont décidé de laver leur linge sale devant dame justice. En effet, N. F. Diouf est traînée en justice par sa sœur K. Diouf pour coups et blessures volontaires (Cbv) ayant entraîné une Interruption Temporaire de Travail (Itt) de 8 jours.
D'aprés le récit de L'As, la trentaine révolue, la prévenue est décrite comme une personne agressive qui sème la zizanie au sein de sa famille. Quelques jours avant les faits, raconte la plaignante, la coupable s'était battue avec sa grande sœur pour une histoire de 25 000 Fcfa. Comme N. F. Diouf s'était armée d'un couteau, K. Diouf est intervenue pour les séparer. Mais depuis lors, la prévenue a gardé une dent contre elle. «Ce jour-là, nous nous sommes bagarrés le matin. Pour éviter que la situation ne s’envenime, je suis sortie de la maison. A mon retour le soir, elle m'a attaquée et blessée avec un couteau», indique la partie civile.
Interrogée, la prévenue reconnaît avoir infligé des blessures à la plaignante, mais elle nie avoir utilisé une arme blanche. Elle a eu une altercation avec leur grande sœur et la partie civile a pris partie pour cette dernière. «Nous nous sommes querellées le matin. En sortant de ma chambre, je l'ai croisée dans la cour alors que je tenais un seau d'eau à la main. Elle m’a apostrophée pour me dire que je l'ai aspergée d'eau. Je lui ai demandé pardon, mais elle m'a frappée avec le balai qu’elle tenait», a-t-elle relaté avant d’ajouter que cette dernière est entrée dans sa chambre pour en ressortir un couteau. «Mais elle a été maîtrisée par son mari. Le soir, elle m'a encore provoquée. On se disputait et son fils m'a menacée avec un tesson de miroir. J’ai sorti un couteau à mon tour, mais je ne l’ai pas utilisé. Je l’ai mordue au visage et au doigt», affirme N. F. Diouf.
Selon le ministère public, «le mis en cause a parlé de morsure, mais ce n'est pas vrai. Elle est de nature nerveuse et belliqueuse. A chaque fois qu'elle a un problème avec un membre de sa famille, elle s'arme de couteau pour s'en prendre à leur intégrité physique. Elle a tendu un guet-apens à sa sœur et la nuit, elle a accompli son plan», a déclaré le représentant du ministère public qui a requis 3 mois de prison ferme. Le jugement sera rendu le 6 mars prochain.
D'aprés le récit de L'As, la trentaine révolue, la prévenue est décrite comme une personne agressive qui sème la zizanie au sein de sa famille. Quelques jours avant les faits, raconte la plaignante, la coupable s'était battue avec sa grande sœur pour une histoire de 25 000 Fcfa. Comme N. F. Diouf s'était armée d'un couteau, K. Diouf est intervenue pour les séparer. Mais depuis lors, la prévenue a gardé une dent contre elle. «Ce jour-là, nous nous sommes bagarrés le matin. Pour éviter que la situation ne s’envenime, je suis sortie de la maison. A mon retour le soir, elle m'a attaquée et blessée avec un couteau», indique la partie civile.
Interrogée, la prévenue reconnaît avoir infligé des blessures à la plaignante, mais elle nie avoir utilisé une arme blanche. Elle a eu une altercation avec leur grande sœur et la partie civile a pris partie pour cette dernière. «Nous nous sommes querellées le matin. En sortant de ma chambre, je l'ai croisée dans la cour alors que je tenais un seau d'eau à la main. Elle m’a apostrophée pour me dire que je l'ai aspergée d'eau. Je lui ai demandé pardon, mais elle m'a frappée avec le balai qu’elle tenait», a-t-elle relaté avant d’ajouter que cette dernière est entrée dans sa chambre pour en ressortir un couteau. «Mais elle a été maîtrisée par son mari. Le soir, elle m'a encore provoquée. On se disputait et son fils m'a menacée avec un tesson de miroir. J’ai sorti un couteau à mon tour, mais je ne l’ai pas utilisé. Je l’ai mordue au visage et au doigt», affirme N. F. Diouf.
Selon le ministère public, «le mis en cause a parlé de morsure, mais ce n'est pas vrai. Elle est de nature nerveuse et belliqueuse. A chaque fois qu'elle a un problème avec un membre de sa famille, elle s'arme de couteau pour s'en prendre à leur intégrité physique. Elle a tendu un guet-apens à sa sœur et la nuit, elle a accompli son plan», a déclaré le représentant du ministère public qui a requis 3 mois de prison ferme. Le jugement sera rendu le 6 mars prochain.