‘’Notre principal souci, dans notre métier, est l’accès à la matière première. C’est la raison pour laquelle nous souhaitons que la directrice de 3FPT, puisse être notre voix auprès de la plus haute autorité du pays. Nous voulons qu’elle fasse notre plaidoyer pour mieux faire notre travail.
Notre souhait est d’être parmi les meilleurs du pays. Que l’État nous offre un quota de l’or exploité, pour qu’on puisse travailler dans de bonnes conditions. Grâce à la 3FPT, nous avons bénéficié de formations. Nous voulons aussi que cela puisse être élargi à d’autres jeunes. Nous sommes dans un monde où il faut être au top pour s’en sortir. Donc, il faut se faire former’’, a déclaré le bijoutier Khaly Thiam.
En effet, la directrice Sophie Diallo a confié qu’une trentaine de bijoutiers ont été formés par ses services en renforcement de capacités sur l’alphabétisation par rapport à la langue nationale, le développement personnel, l’initiation à la gestion des entreprises et entrepreneuriale.
L’idée est qu’ils puissent faire la différence entre l’ensemble des charges de coût qui sont afférentes à l’exercice du métier, afin de ne pas subir certains désagréments, parce qu’ils n’ont pas su estimer le bon coût de leurs produits.
Notre souhait est d’être parmi les meilleurs du pays. Que l’État nous offre un quota de l’or exploité, pour qu’on puisse travailler dans de bonnes conditions. Grâce à la 3FPT, nous avons bénéficié de formations. Nous voulons aussi que cela puisse être élargi à d’autres jeunes. Nous sommes dans un monde où il faut être au top pour s’en sortir. Donc, il faut se faire former’’, a déclaré le bijoutier Khaly Thiam.
En effet, la directrice Sophie Diallo a confié qu’une trentaine de bijoutiers ont été formés par ses services en renforcement de capacités sur l’alphabétisation par rapport à la langue nationale, le développement personnel, l’initiation à la gestion des entreprises et entrepreneuriale.
L’idée est qu’ils puissent faire la différence entre l’ensemble des charges de coût qui sont afférentes à l’exercice du métier, afin de ne pas subir certains désagréments, parce qu’ils n’ont pas su estimer le bon coût de leurs produits.