Amnesty International, la Ligue sénégalaise des droits humains et Article 19, projettent une marche pacifique le vendredi 27 octobre prochain. Ces organisations de droits humains demandent la libération de Aliou Sané, coordonnateur du mouvement Y en a marre, vice- coordonnateur du F24 et membre du Conseil d’administration du Réseau ouest africain des défenseurs des droits humains, envoyé en prison il y a quelques jours, ainsi que d’autres personnes, détenues pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression, d’opinion et de réunion pacifique.
Le coordonnateur du mouvement social sénégalais « Y en a marre » Aliou Sané et vice-coordonnateur du mouvement F24 et membre du Conseil d’administration du Réseau ouest africain des défenseurs des droits humains, a été récemment envoyé en prison, ce qui a suscité une vive inquiétude de la part de nombreuses organisations internationales de défense des droits humains. Ces derniers ont lancé un appel pour sa libération, mais également pour d’autres défenseurs des droits humains, emprisonnés uniquement « pour avoir exprimé librement leurs opinions et exercé pacifiquement leur droit de réunion ». Ces organisations jugent « leur détention injuste et demandent leur libération immédiate et inconditionnelle ».
Une marche pacifique pour soutenir la liberté d’expression et de réunion pacifique
Amnesty International, la Ligue sénégalaise des droits humains et Article 19, feront une marche le 27 octobre. Une occasion pour ces organisations de défense des droits humains, de sensibiliser l’opinion publique sur la situation des défenseurs des droits humains au Sénégal. L’itinéraire de la marche sera de l’Avenue Bourguiba, passant par le rond-point de la Fastef à celui de Jet d’eau, ils espèrent attirer l’attention sur les violations des droits humains qui se produisent dans le pays.
« Les droits à la liberté d’expression, d’opinion et de réunion pacifique sont des droits fondamentaux inscrits dans les conventions internationales dont le Sénégal fait partie. Ces droits ne devraient pas être restreints ou supprimés, mais plutôt protégés et encouragés », ont-ils écrit dans leur déclaration adressée au préfet de Dakar, en précisant que la marche pacifique vise donc également à rappeler au gouvernement sénégalais ,ses obligations en matière de respect des droits humains et à exiger la libération de tous les défenseurs des droits humains, actuellement détenus .
Cesser la répression de la liberté d’expression d’opinion et de réunion pacifique au Sénégal.
La marche pacifique prévue par Seydi Gassama et Cie est un appel pour réclamer la libération de "toutes les personnes détenues, pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression, d’opinion et de réunion pacifique".
Rewmi
Le coordonnateur du mouvement social sénégalais « Y en a marre » Aliou Sané et vice-coordonnateur du mouvement F24 et membre du Conseil d’administration du Réseau ouest africain des défenseurs des droits humains, a été récemment envoyé en prison, ce qui a suscité une vive inquiétude de la part de nombreuses organisations internationales de défense des droits humains. Ces derniers ont lancé un appel pour sa libération, mais également pour d’autres défenseurs des droits humains, emprisonnés uniquement « pour avoir exprimé librement leurs opinions et exercé pacifiquement leur droit de réunion ». Ces organisations jugent « leur détention injuste et demandent leur libération immédiate et inconditionnelle ».
Une marche pacifique pour soutenir la liberté d’expression et de réunion pacifique
Amnesty International, la Ligue sénégalaise des droits humains et Article 19, feront une marche le 27 octobre. Une occasion pour ces organisations de défense des droits humains, de sensibiliser l’opinion publique sur la situation des défenseurs des droits humains au Sénégal. L’itinéraire de la marche sera de l’Avenue Bourguiba, passant par le rond-point de la Fastef à celui de Jet d’eau, ils espèrent attirer l’attention sur les violations des droits humains qui se produisent dans le pays.
« Les droits à la liberté d’expression, d’opinion et de réunion pacifique sont des droits fondamentaux inscrits dans les conventions internationales dont le Sénégal fait partie. Ces droits ne devraient pas être restreints ou supprimés, mais plutôt protégés et encouragés », ont-ils écrit dans leur déclaration adressée au préfet de Dakar, en précisant que la marche pacifique vise donc également à rappeler au gouvernement sénégalais ,ses obligations en matière de respect des droits humains et à exiger la libération de tous les défenseurs des droits humains, actuellement détenus .
Cesser la répression de la liberté d’expression d’opinion et de réunion pacifique au Sénégal.
La marche pacifique prévue par Seydi Gassama et Cie est un appel pour réclamer la libération de "toutes les personnes détenues, pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression, d’opinion et de réunion pacifique".
Rewmi