Cette logistique devra servir à renforcer la surveillance des frontières dans le cadre de la prévention contre les déplacements, les trafics illicites, entre autres.
« Il est important de renforcer le contrôle et la surveillance des frontières dans un contexte sous-régional marqué par le terrorisme, le crime organisé et les trafics en tout genre, notamment de migrants », a motivé l’ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal, Joaquin Gonzalez-Ducay.
Pour leur part, les autorités sénégalaises, représentées par le général Meïssa Niang, préconisent « une approche concertée pour lutter contre le phénomène de l’insécurité frontalière ». A ce propos, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a procédé à une allocation de voitures, de motos et pour bientôt, de bateaux qui suivront.
Mais, pour le Général Niang, il reste des efforts à faire. Il a notamment exprimé les besoins de « brigades scanners mobiles » implantées le long des frontières par où passent le trafic de drogue, de migrants, la contrebande, et tous les autres trafics illicites.
« Il est important de renforcer le contrôle et la surveillance des frontières dans un contexte sous-régional marqué par le terrorisme, le crime organisé et les trafics en tout genre, notamment de migrants », a motivé l’ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal, Joaquin Gonzalez-Ducay.
Pour leur part, les autorités sénégalaises, représentées par le général Meïssa Niang, préconisent « une approche concertée pour lutter contre le phénomène de l’insécurité frontalière ». A ce propos, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a procédé à une allocation de voitures, de motos et pour bientôt, de bateaux qui suivront.
Mais, pour le Général Niang, il reste des efforts à faire. Il a notamment exprimé les besoins de « brigades scanners mobiles » implantées le long des frontières par où passent le trafic de drogue, de migrants, la contrebande, et tous les autres trafics illicites.