Ce, non pas parce que le journaliste fait partie des compatriotes traqués dans le cadre des jets de pierres du Campus social de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, lors de la visite du Président Sall, non pas également parce qu’il est présumé auteur de l’alerte à la bombe de l’hôtel Radisson. Mais plutôt parce que Pape cheikh Sylla a eu maille à partir avec un gendarme. Tout est parti, selon les sources de Actusen.com, d’un contrôle de routine dans la circulation.
En effet, le pandore lui a demandé son permis de conduire, la carte grise de son véhicule, entre autres documents. Mais notre confrère, qui avait oublié toute la paperasse de son véhicule chez lui, n’a pas pu fournir les documents à lui réclamés par l’agent assermenté. Là, s’ensuivent des échanges de propos aigre-doux entre Pape Cheikh Sylla et le gendarme en question. Dans la foulée, notre confrère est non seulement accusé par l’agent d’avoir manqué à ses obligations pour aspirer se mettre au volant, mais aussi il a estimé que l’employé de D Médias lui a manqué de respect. Et piment sur le gâteau : le gendarme l’a accusé d’avoir failli l’écraser, quand il l’a sommé de s’arrêter.
Alors, pour tous ces “chefs d’inculpation”, il a été gardé à vue, jusqu’à ce mercredi matin, avant qu’une délégation de D Médias ne se rende à la Brigade de gendarmerie pour quémander sa libération. Ce qui fut un simple jeu d’enfants. Car, l’adjoint au Commandant, trouvé sur place et crédité être hyper cool, a remis Pape Cheikh Sylla aux siens. Et ce dernier a pu se rendre au boulot, cette après-midi (hier).
Actusen.com
En effet, le pandore lui a demandé son permis de conduire, la carte grise de son véhicule, entre autres documents. Mais notre confrère, qui avait oublié toute la paperasse de son véhicule chez lui, n’a pas pu fournir les documents à lui réclamés par l’agent assermenté. Là, s’ensuivent des échanges de propos aigre-doux entre Pape Cheikh Sylla et le gendarme en question. Dans la foulée, notre confrère est non seulement accusé par l’agent d’avoir manqué à ses obligations pour aspirer se mettre au volant, mais aussi il a estimé que l’employé de D Médias lui a manqué de respect. Et piment sur le gâteau : le gendarme l’a accusé d’avoir failli l’écraser, quand il l’a sommé de s’arrêter.
Alors, pour tous ces “chefs d’inculpation”, il a été gardé à vue, jusqu’à ce mercredi matin, avant qu’une délégation de D Médias ne se rende à la Brigade de gendarmerie pour quémander sa libération. Ce qui fut un simple jeu d’enfants. Car, l’adjoint au Commandant, trouvé sur place et crédité être hyper cool, a remis Pape Cheikh Sylla aux siens. Et ce dernier a pu se rendre au boulot, cette après-midi (hier).
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