De l'économie de cette affaire somme toute insolite, dakarposte.com tient que c'est un certain Ibrahima Taha, un Sénégalais, qui a longtemps séjourné au pays de Barack Obama, qui est le plaignant.
De nos recoupements menés, toute la journée d'hier, il ressort que Taha, par l'entremise de sa maman est parvenu à acheter une villa sur le boulevard Centenaire surnommé "China Town". Une maison acquise auprès d'une famille Diagne au prix de 45 millions cfa payés rubis sur ongle.
D'après la version du plaignant, il a envoyé depuis les Usa, à son oncle Seydina Ousseynou Mbengue la somme de 2.900.000 cfa pour les frais afférents à la mutation de la maison en titre foncier. En fait, la maison a été acquise en bail.
Pendant un bon bout de temps dira t'il, c'est son oncle qui assurait la gestion de la location et percevait chaque mois la somme de 450.000 cfa.
Quelques temps après, le "Modou Modou" revient au bercail et demande à son oncle de lui faire la situation notamment de la location encaissée. Mais, grande a été sa surprise lorsque son oncle lui a dit que la maison a été occupée par des Chinois qui refusent de s'acquitter de la location. Pis, ils refuseraient de quitter la maison et de cet état de fait, une procédure judiciaire serait entamée. "Alors, qu'il n'en est rien!" fulmine le plaignant.
"Mon oncle percevait l'argent de la location pendant 36 mois par le biais de la dame Aissatou Diop. Il s'y ajoute le non paiement d'impôts pendant plusieurs mois" renchérit le Modou Modou. Qui se sentant victime d'abus de confiance a donc porté plainte contre son oncle et la dame répondant au nom d'Aissatou Diop. Qui, interpelée par les pandores en charge de l'enquête s'est déchargée sur l'oncle.
"Cuisiné", l'oncle de soutenir dur comme fer que c'est sa soeur (maman du plaignant) qui lui a demandé de mettre la maison en location. "Mais, je n 'avais pas de temps pour ca et j'ai demandé à ma connaissance Aissatou Diop, une ancienne collègue que je connais bien et qui habite derrière la maison de s'occuper de la gestion de la location. Et, c'est elle qui a établi le contrat de location avec les Chinois" a t'il laissé entendre, non sans marteler avoir remis les sommes percues de la location à sa soeur (la maman de la plaignante). "Malheureusement, il n'ya jamais eu de décharges entre nous" a soutenu Mbengue.
Convoquée sa soeur Mame Khar Ndiaye jure la main sur le coeur qu'elle n'a recu un kopeck de son frère utérin. Invitée à être plus explicite, la dame de laisser entendre avoir même participé à l'achat de la maison à 45 plaques. A l'en croire, c'est parce qu'elle habite à Tivaouane qu'elle a demandé à son frère, employé à FLP Senegal à Dakar de s'occuper de la gestion de la location.
La suite est connue: des problèmes sont survenus.
Réentendu, notamment interpellé sur le fait que sa maman demande le désistement de sa plainte, Ibrahima Taha qu'il comprend parfaitement l'attitude de sa mère. Qui, selon ses termes, est de tout faire pour sauvegarder les bonnes relations familiales. Mais, le plaignant, qui ne décolère, d'asséner que sa maman sait parfaitement que son oncle lui doit pas moins de 19 millions cfa qu'il réclame. Qu'il a des problèmes avec la fiscalité, c'est à dire qu'il est tenu d'éponger l'ardoise des impôts. Une ardoise de 6.197.813 cfa que son oncle n'a pas payé durant tout le temps qu'il est resté aux Usa. Bref, aux dernières nouvelles, le plaignant s'arc-boute dans sa position. Autrement dit, il continue de réclamer le remboursement de son argent.
Nous vous promettons d'y revenir amplement!
De nos recoupements menés, toute la journée d'hier, il ressort que Taha, par l'entremise de sa maman est parvenu à acheter une villa sur le boulevard Centenaire surnommé "China Town". Une maison acquise auprès d'une famille Diagne au prix de 45 millions cfa payés rubis sur ongle.
D'après la version du plaignant, il a envoyé depuis les Usa, à son oncle Seydina Ousseynou Mbengue la somme de 2.900.000 cfa pour les frais afférents à la mutation de la maison en titre foncier. En fait, la maison a été acquise en bail.
Pendant un bon bout de temps dira t'il, c'est son oncle qui assurait la gestion de la location et percevait chaque mois la somme de 450.000 cfa.
Quelques temps après, le "Modou Modou" revient au bercail et demande à son oncle de lui faire la situation notamment de la location encaissée. Mais, grande a été sa surprise lorsque son oncle lui a dit que la maison a été occupée par des Chinois qui refusent de s'acquitter de la location. Pis, ils refuseraient de quitter la maison et de cet état de fait, une procédure judiciaire serait entamée. "Alors, qu'il n'en est rien!" fulmine le plaignant.
"Mon oncle percevait l'argent de la location pendant 36 mois par le biais de la dame Aissatou Diop. Il s'y ajoute le non paiement d'impôts pendant plusieurs mois" renchérit le Modou Modou. Qui se sentant victime d'abus de confiance a donc porté plainte contre son oncle et la dame répondant au nom d'Aissatou Diop. Qui, interpelée par les pandores en charge de l'enquête s'est déchargée sur l'oncle.
"Cuisiné", l'oncle de soutenir dur comme fer que c'est sa soeur (maman du plaignant) qui lui a demandé de mettre la maison en location. "Mais, je n 'avais pas de temps pour ca et j'ai demandé à ma connaissance Aissatou Diop, une ancienne collègue que je connais bien et qui habite derrière la maison de s'occuper de la gestion de la location. Et, c'est elle qui a établi le contrat de location avec les Chinois" a t'il laissé entendre, non sans marteler avoir remis les sommes percues de la location à sa soeur (la maman de la plaignante). "Malheureusement, il n'ya jamais eu de décharges entre nous" a soutenu Mbengue.
Convoquée sa soeur Mame Khar Ndiaye jure la main sur le coeur qu'elle n'a recu un kopeck de son frère utérin. Invitée à être plus explicite, la dame de laisser entendre avoir même participé à l'achat de la maison à 45 plaques. A l'en croire, c'est parce qu'elle habite à Tivaouane qu'elle a demandé à son frère, employé à FLP Senegal à Dakar de s'occuper de la gestion de la location.
La suite est connue: des problèmes sont survenus.
Réentendu, notamment interpellé sur le fait que sa maman demande le désistement de sa plainte, Ibrahima Taha qu'il comprend parfaitement l'attitude de sa mère. Qui, selon ses termes, est de tout faire pour sauvegarder les bonnes relations familiales. Mais, le plaignant, qui ne décolère, d'asséner que sa maman sait parfaitement que son oncle lui doit pas moins de 19 millions cfa qu'il réclame. Qu'il a des problèmes avec la fiscalité, c'est à dire qu'il est tenu d'éponger l'ardoise des impôts. Une ardoise de 6.197.813 cfa que son oncle n'a pas payé durant tout le temps qu'il est resté aux Usa. Bref, aux dernières nouvelles, le plaignant s'arc-boute dans sa position. Autrement dit, il continue de réclamer le remboursement de son argent.
Nous vous promettons d'y revenir amplement!