Cueilli après leur patronne Ndella Madior Diouf, le personnel de la Pouponnière « Keur Yeurmandé » embarqué jeudi par les enquêteurs de la Sûreté urbaine, s’est livré à des révélations effroyables.
La garde à vue prolongée de Ndella Madior Diouf a été prolongée jusqu’à mardi. Elle passe ainsi sa 3e nuit au Commissariat du Plateau. L’enquête a attesté qu’aucun membre du personnel n’est qualifié. Pire, ces derniers ont confirmé que deux nourrissons étaient effectivement décédés suite à une « dénutrition ».
Mais il y a bien pire. D’après Libération, repris par Senenews, un membre du personnel a révélé que des avortements clandestins ont été perpétrés dans la pouponnière « Keur Yeurmandé » avant que Ndella Madior Diouf ne récupère les bébés.
Auteure d’une plainte, la femme, qui réclamait son bébé « donné » après accouchement à la Pouponnière s’était vu réclamer 5 millions FCFA pour les « frais ».
« C’était un business pour elle », a lâché un membre du personnel, estimant que Ndella Madior Diouf n’avait aucun sentiment pour les enfants qui évoluaient dans un milieu chaotique.
Or, renseigne-t-il, elle recevait énormément d’argent de gens célèbres à qui elle faisait croire que tel ou tel portait son nom.
La garde à vue prolongée de Ndella Madior Diouf a été prolongée jusqu’à mardi. Elle passe ainsi sa 3e nuit au Commissariat du Plateau. L’enquête a attesté qu’aucun membre du personnel n’est qualifié. Pire, ces derniers ont confirmé que deux nourrissons étaient effectivement décédés suite à une « dénutrition ».
Mais il y a bien pire. D’après Libération, repris par Senenews, un membre du personnel a révélé que des avortements clandestins ont été perpétrés dans la pouponnière « Keur Yeurmandé » avant que Ndella Madior Diouf ne récupère les bébés.
Auteure d’une plainte, la femme, qui réclamait son bébé « donné » après accouchement à la Pouponnière s’était vu réclamer 5 millions FCFA pour les « frais ».
« C’était un business pour elle », a lâché un membre du personnel, estimant que Ndella Madior Diouf n’avait aucun sentiment pour les enfants qui évoluaient dans un milieu chaotique.
Or, renseigne-t-il, elle recevait énormément d’argent de gens célèbres à qui elle faisait croire que tel ou tel portait son nom.