Le constat relève du fait quil n'ya pas cette année, beaucoup de production d'oignons et les commerçants ont tout acheté, coïncidant avec la première campagne, où toute la production est passée entre leurs mains et qui sont présentement en train de spéculer sur le marché, à des prix flambants hors de portée, à quelques jours de la Tabaski .
En réalité, informe Souleymane Bà, cette situation ne profite pas aux petits producteurs et il estime que l'augmentation voire la flambée des prix sur l'oignon, résulte de la rétention opérée par les banas-banas et gros commerçants.
En effet, le besoin en oignons actuellement est de 30.000 tonnes, alors que la production locale est de 50.000 tonnes.
Ce qui permet de déduire qu'il y a effectivement une rétention de stocks qui ne se justifie pas, que déplorent Souleymane Bâ et ses amis, et qui a entraîné l'ouverture tôt du marché d'importation de l'oignon avec les prévisions annoncées par l'Etat de 10.000 tonnes par le Ministre du Commerce, de la Consommation et des PME, garant de la protection des consommateurs et de la défense contre les pratiques spéculatives, du fait qu'à quelques jours de la fête de la Tabaski, l'on note que le marché de l’oignon fait l’objet de spéculations.
Cette situation est récurrente à pareille époque, à l'approche de la Tabaski...et l'Etat marque toujours sa présence pour déjouer le piège des banas-banas et gros commerçant, en prenant des mesures nécessaires pour éviter les spéculations sur les prix des denrées, notamment l’oignon, pour stabiliser le prix et protéger ainsi le consommateur, au même titre que le producteur
C'est dans le même élan que s'inscrit la démarche des producteurs de Potou, réunis autour de la Coopérative, qui vendent aujourd'hui entre 400 et 500 FCfa le kg, différent du prix du marché, entre 700 et 800 FCfa, ce qui est anormal.
Les producteurs sont très vulnérables aujourd'hui, car bientôt, c'est le démarrage de la deuxième campagne, d'ici la fin du mois de Juin au mois de Juillet, pour l'oignon rouge le "Sonsa", qui est la principale campagne oû les producteurs investissent beaucoup de moyens et qui risque d'être hypothéquée.
Face à cette situation, les producteurs estiment qu'il fallait alerter les acteurs mais aussi les consommateurs, l'Etat et les différents partenaires, pour dénoncer les prix pratiqués par les banas-banas et gros commerçants sur le marché et qui sont différents de ceux pratiqués par les producteurs .
Ils estiment en outre que face à cette situation, l'Etat doit impérativement réduire la distance entre les producteurs et les consommateurs, de manière à les rapprocher pour la satisfaction des besoins.
En réalité, informe Souleymane Bà, cette situation ne profite pas aux petits producteurs et il estime que l'augmentation voire la flambée des prix sur l'oignon, résulte de la rétention opérée par les banas-banas et gros commerçants.
En effet, le besoin en oignons actuellement est de 30.000 tonnes, alors que la production locale est de 50.000 tonnes.
Ce qui permet de déduire qu'il y a effectivement une rétention de stocks qui ne se justifie pas, que déplorent Souleymane Bâ et ses amis, et qui a entraîné l'ouverture tôt du marché d'importation de l'oignon avec les prévisions annoncées par l'Etat de 10.000 tonnes par le Ministre du Commerce, de la Consommation et des PME, garant de la protection des consommateurs et de la défense contre les pratiques spéculatives, du fait qu'à quelques jours de la fête de la Tabaski, l'on note que le marché de l’oignon fait l’objet de spéculations.
Cette situation est récurrente à pareille époque, à l'approche de la Tabaski...et l'Etat marque toujours sa présence pour déjouer le piège des banas-banas et gros commerçant, en prenant des mesures nécessaires pour éviter les spéculations sur les prix des denrées, notamment l’oignon, pour stabiliser le prix et protéger ainsi le consommateur, au même titre que le producteur
C'est dans le même élan que s'inscrit la démarche des producteurs de Potou, réunis autour de la Coopérative, qui vendent aujourd'hui entre 400 et 500 FCfa le kg, différent du prix du marché, entre 700 et 800 FCfa, ce qui est anormal.
Les producteurs sont très vulnérables aujourd'hui, car bientôt, c'est le démarrage de la deuxième campagne, d'ici la fin du mois de Juin au mois de Juillet, pour l'oignon rouge le "Sonsa", qui est la principale campagne oû les producteurs investissent beaucoup de moyens et qui risque d'être hypothéquée.
Face à cette situation, les producteurs estiment qu'il fallait alerter les acteurs mais aussi les consommateurs, l'Etat et les différents partenaires, pour dénoncer les prix pratiqués par les banas-banas et gros commerçants sur le marché et qui sont différents de ceux pratiqués par les producteurs .
Ils estiment en outre que face à cette situation, l'Etat doit impérativement réduire la distance entre les producteurs et les consommateurs, de manière à les rapprocher pour la satisfaction des besoins.