Né à Dakar un jour de 1979, Dave Tandian à ses originaires à Diéwol, un village Soninké situé sur les rives du fleuve Sénégal. Il a été élevé à Podor par sa grand-mère paternelle, Néné Coulibaly, qui le prit sous son aile protectrice depuis l’âge de 11 mois.
C’est à Podor, au Nord du Sénégal, à l’Ecole 3, que Tange Tandian effectue son cycle primaire (de la Ci à jusqu’au CE2) avant de rejoindre son oncle, Mame Boubou Tandian (le frère à son père qui était à l’époque directeur d’école à Agnam Civol, (département de Matam).
C’est dans ce village de ‘"haal pulaar que le jeune Soninké a obtenu son premier diplôme, (le Cepe) suivi de mon admission à l’entrée en sixième) en 1988 à Thilogne. N’ayant pas de tuteur sur place, il revient aux côtés de sa grand-mère, Néné Coulibaly, à Podor, pour poursuivre ses études au Collège d’enseignement moyen (Cem) El Hadj Baba Ndiongue. C’est dans cet établissement que le surnom de Tange lui a été donné. "Un jour, nous sortions d’un cours de géométrie où l’on traçait des droites tangentes. Et, notre professeur de maths, un certain M. Cissé, s’adressant à moi, m’appela ‘Tange’. Et les camarades de classe se mirent à m’appeler ainsi. Etant enfant, j’ai toujours été très ouvert et tout le collège me connaissait pour mon engagement dans les foyers culturels et les organisations d’événements », précise-t-il avec fierté.
L’année 1990 a été un tournant décisif dans sa vie. En effet, c'est en cette année qu'il perdit son papa Mbaye Kandé Tandian, ancien fonctionnaire au ministère des Finances. Sa maman, ménagère, était obligée d’élever ses deux frères et ses deux sœurs. De Podor, Tange décide de venir aux côtés de sa maman à Dakar pour lui apporter son soutien. Il n’abandonna pas les études. Le courage en bandoulière, il s’inscrit au Collège d’enseignement moyen Ibrahima Thiaw, à l’Unité 8 des Parcelles Assainies. Il allie études et maçonnerie. Très actif dans le foyer scolaire, il fera la connaissance, dans cet établissement, les Abdou Khafor Touré et Abdou Naser (Pds)... Il obtient son Brevet de fin d’études élémentaire en 1994 et s’inscrit au Lycée Limamoulaye de Guédiawaye où il obtient son Baccalauréat en série B, en 1997.
C’est une nouvelle porte qui s’ouvre pour lui. Il devait s’inscrire à l’Université Cheikh Anta Diop Dakar. Seulement, le jeune bachelier, hanté par les interminables grèves qui secouent ce temple du savoir et l’envie de trouver de l’argent, choisit de se lancer dans les "affaires" qui, espérait-il, "pouvaient lui ouvrir les portes". Il part auprès de ses oncles (les frères de son père à Tambacounda pour, dit il, y passer les vacances. Là, l’idée lui est venue de faire une formation en comptabilité. Il s’inscrit dans un établissement dénommé Conforgep où il décrocha, deux ans plus tard, un BEP.
"Parallèlement, pour maintenir mon indépendance et financer personnellement mes études, j’exerçais la teinture et le commerce durant les vacances scolaires entre la Guinée, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal", se souvient-il comme si c’était hier.
Du commerce, le jeune débrouillard va toucher à tout. « J’aimais aussi accompagner un de mes oncles qui animait avec sa sono les manifestations de jeunes dans les quartiers que l’on appelait « foureul » où je jouais les MC. C’est de là que m’est venue l’idée de faire une formation en marketing communication. J’intègre DS Max, une société canadienne où je fais la publicité dans les places publiques. C’est à cette occasion que j’ai rencontré un vieux monsieur qui, séduit par mes envolées lyriques, m’a conseillé de prendre des cours de journalisme ou de faire de la… politique. Il me met en contact avec DJ Boub’s en 1999 et, deux ans plus tard, je décide de voler de mes propres ailes", se rappelle-t-il encore. Et Tange de continuer à étaler son Cv : "Je rejoins alors la ville de Thiès où j’intègre la radio Dunya comme commercial et animateur, puis je fais un bref séjour à Walf Thiès avant de mettre en place une petite structure d'événementiels en organisant des élections Miss et des concours avec des salons de coiffure en partenariat avec les mèches Nina. J'intègre par la suite l'agence Mad Pro de Moïse Ambroise Gomis comme chargé de com’ de l'élection Miss Sénégal jusqu'en 2012. En 2007, j’ai fait un séjour à la radio Océan Fm où Mame Less Camara me conseilla un jour de faire des cours de journalisme. Suivant son conseil, je m'inscris en 2010 à Educatel pour faire le journalisme culturel. Par la suite, j’ai collaboré avec le magazine people Station One et le quotidien L'Office, les sites internet people comme facedakar, dakaractu, senxibar et achaud.com. En 2012, je crée TGK COM, éditeur du magazine VIP News dont j’étais le Directeur de publication avant de racheter le site internet vipeoples.net qui est aujourd'hui parmi les sites les plus visités du Sénégal ».
Personnage influent dans le milieu du show-biz et de la presse people sénégalaise, il collabore avec beaucoup d’artistes sénégalais comme la Diva Coumba Gawlo Seck, Viviane Chidid, Salam Diallo, Sidy Samb, Waly Seck ou encore Pape Diouf dont il assure, aujourd’hui, la communication sur la scène nationale et internationale. Marié à la Suédoise d’origine sénégalaise, Nadine Dramé, Tange est souvent entre deux avions. "Mes activités professionnelles m’ont conduit à voyager un peu partout à travers le monde, j’ai visité beaucoup de pays en Europe et en Amérique et je ne compte pas cesser de voyager afin de continuer à forger mon âme et mon esprit au contact de personnes d’horizons divers’, renseigne-t-il.
C’est à Podor, au Nord du Sénégal, à l’Ecole 3, que Tange Tandian effectue son cycle primaire (de la Ci à jusqu’au CE2) avant de rejoindre son oncle, Mame Boubou Tandian (le frère à son père qui était à l’époque directeur d’école à Agnam Civol, (département de Matam).
C’est dans ce village de ‘"haal pulaar que le jeune Soninké a obtenu son premier diplôme, (le Cepe) suivi de mon admission à l’entrée en sixième) en 1988 à Thilogne. N’ayant pas de tuteur sur place, il revient aux côtés de sa grand-mère, Néné Coulibaly, à Podor, pour poursuivre ses études au Collège d’enseignement moyen (Cem) El Hadj Baba Ndiongue. C’est dans cet établissement que le surnom de Tange lui a été donné. "Un jour, nous sortions d’un cours de géométrie où l’on traçait des droites tangentes. Et, notre professeur de maths, un certain M. Cissé, s’adressant à moi, m’appela ‘Tange’. Et les camarades de classe se mirent à m’appeler ainsi. Etant enfant, j’ai toujours été très ouvert et tout le collège me connaissait pour mon engagement dans les foyers culturels et les organisations d’événements », précise-t-il avec fierté.
L’année 1990 a été un tournant décisif dans sa vie. En effet, c'est en cette année qu'il perdit son papa Mbaye Kandé Tandian, ancien fonctionnaire au ministère des Finances. Sa maman, ménagère, était obligée d’élever ses deux frères et ses deux sœurs. De Podor, Tange décide de venir aux côtés de sa maman à Dakar pour lui apporter son soutien. Il n’abandonna pas les études. Le courage en bandoulière, il s’inscrit au Collège d’enseignement moyen Ibrahima Thiaw, à l’Unité 8 des Parcelles Assainies. Il allie études et maçonnerie. Très actif dans le foyer scolaire, il fera la connaissance, dans cet établissement, les Abdou Khafor Touré et Abdou Naser (Pds)... Il obtient son Brevet de fin d’études élémentaire en 1994 et s’inscrit au Lycée Limamoulaye de Guédiawaye où il obtient son Baccalauréat en série B, en 1997.
C’est une nouvelle porte qui s’ouvre pour lui. Il devait s’inscrire à l’Université Cheikh Anta Diop Dakar. Seulement, le jeune bachelier, hanté par les interminables grèves qui secouent ce temple du savoir et l’envie de trouver de l’argent, choisit de se lancer dans les "affaires" qui, espérait-il, "pouvaient lui ouvrir les portes". Il part auprès de ses oncles (les frères de son père à Tambacounda pour, dit il, y passer les vacances. Là, l’idée lui est venue de faire une formation en comptabilité. Il s’inscrit dans un établissement dénommé Conforgep où il décrocha, deux ans plus tard, un BEP.
"Parallèlement, pour maintenir mon indépendance et financer personnellement mes études, j’exerçais la teinture et le commerce durant les vacances scolaires entre la Guinée, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal", se souvient-il comme si c’était hier.
Du commerce, le jeune débrouillard va toucher à tout. « J’aimais aussi accompagner un de mes oncles qui animait avec sa sono les manifestations de jeunes dans les quartiers que l’on appelait « foureul » où je jouais les MC. C’est de là que m’est venue l’idée de faire une formation en marketing communication. J’intègre DS Max, une société canadienne où je fais la publicité dans les places publiques. C’est à cette occasion que j’ai rencontré un vieux monsieur qui, séduit par mes envolées lyriques, m’a conseillé de prendre des cours de journalisme ou de faire de la… politique. Il me met en contact avec DJ Boub’s en 1999 et, deux ans plus tard, je décide de voler de mes propres ailes", se rappelle-t-il encore. Et Tange de continuer à étaler son Cv : "Je rejoins alors la ville de Thiès où j’intègre la radio Dunya comme commercial et animateur, puis je fais un bref séjour à Walf Thiès avant de mettre en place une petite structure d'événementiels en organisant des élections Miss et des concours avec des salons de coiffure en partenariat avec les mèches Nina. J'intègre par la suite l'agence Mad Pro de Moïse Ambroise Gomis comme chargé de com’ de l'élection Miss Sénégal jusqu'en 2012. En 2007, j’ai fait un séjour à la radio Océan Fm où Mame Less Camara me conseilla un jour de faire des cours de journalisme. Suivant son conseil, je m'inscris en 2010 à Educatel pour faire le journalisme culturel. Par la suite, j’ai collaboré avec le magazine people Station One et le quotidien L'Office, les sites internet people comme facedakar, dakaractu, senxibar et achaud.com. En 2012, je crée TGK COM, éditeur du magazine VIP News dont j’étais le Directeur de publication avant de racheter le site internet vipeoples.net qui est aujourd'hui parmi les sites les plus visités du Sénégal ».
Personnage influent dans le milieu du show-biz et de la presse people sénégalaise, il collabore avec beaucoup d’artistes sénégalais comme la Diva Coumba Gawlo Seck, Viviane Chidid, Salam Diallo, Sidy Samb, Waly Seck ou encore Pape Diouf dont il assure, aujourd’hui, la communication sur la scène nationale et internationale. Marié à la Suédoise d’origine sénégalaise, Nadine Dramé, Tange est souvent entre deux avions. "Mes activités professionnelles m’ont conduit à voyager un peu partout à travers le monde, j’ai visité beaucoup de pays en Europe et en Amérique et je ne compte pas cesser de voyager afin de continuer à forger mon âme et mon esprit au contact de personnes d’horizons divers’, renseigne-t-il.