Il y avait eu un quiproquo lié à l’assiette du projet mais il a été vite levé avec les nombreuses réunions tenues par le Directeur général du Port autonome de Dakar (PAD), Aboubacar Sadikh Beye.
« Il y a eu le problème de surface puisque le Président avait parlé de 600 hectares puis de 2000 hectares, c’était une incompréhension. Les populations s’étaient levées pour dire qu’elles étaient pour le projet mais qu’il fallait revoir la surface. Il y a eu des explications par rapport à la zone économique qui fera 1200 hectares. Une superficie qui n’est pas uniquement dans la commune de Popenguine Ndayanne, mais plutôt dans celle de Diass. Après explications, tout est rentré dans l’ordre. C’est un malentendu qu’il fallait lever, maintenant le projet continue », a expliqué Mansour Thiandoum, qui soutient tout de même que ses administrés n’ont jamais douté au projet.
« Nous sommes preneurs et nous allons l’accompagner jusqu’à la réception de ce port, qui est un des plus grands chantiers du Sénégal », indique d’emblée Cheikh Tidiane Diouf, le maire de la commune de Diass. Selon l’édile de cette commune, les quelques griefs enregistrés étaient liés à la nouveauté du projet dans cette zone rurale. Annonçant une forte mobilisation pour la journée du lancement, M. Diouf demande en outre, un accompagnement social mais également dans le domaine de l’emploi.
« La population n’est pas contre le projet mais il y a des appréhensions et un manque de communication. Un projet aussi grand mérite une sensibilisation des populations. Elles peuvent avoir des inquiétudes. Nous demandons que nos jeunes soient formés aux métiers portuaires, comme cela demain, ils pourront s’adapter », avance l’édile.
Des préoccupations légitimes qui ont trouvé une oreille attentive du Directeur général du PAD, Aboubacar Sadikh Bèye. A Ndayanne, il est prévu sur un site de 1200 hectares, la construction d’infrastructures portuaires avec des tirants d’eau de 18 mètres. Le coût du projet dont les travaux démarrent ce 3 janvier 2022, sera de 3000 milliards de francs à la fin de la dernière phase. A terme, le port permettra la création entre 100.000 à 150 000 emplois.
Le Témoin
« Il y a eu le problème de surface puisque le Président avait parlé de 600 hectares puis de 2000 hectares, c’était une incompréhension. Les populations s’étaient levées pour dire qu’elles étaient pour le projet mais qu’il fallait revoir la surface. Il y a eu des explications par rapport à la zone économique qui fera 1200 hectares. Une superficie qui n’est pas uniquement dans la commune de Popenguine Ndayanne, mais plutôt dans celle de Diass. Après explications, tout est rentré dans l’ordre. C’est un malentendu qu’il fallait lever, maintenant le projet continue », a expliqué Mansour Thiandoum, qui soutient tout de même que ses administrés n’ont jamais douté au projet.
« Nous sommes preneurs et nous allons l’accompagner jusqu’à la réception de ce port, qui est un des plus grands chantiers du Sénégal », indique d’emblée Cheikh Tidiane Diouf, le maire de la commune de Diass. Selon l’édile de cette commune, les quelques griefs enregistrés étaient liés à la nouveauté du projet dans cette zone rurale. Annonçant une forte mobilisation pour la journée du lancement, M. Diouf demande en outre, un accompagnement social mais également dans le domaine de l’emploi.
« La population n’est pas contre le projet mais il y a des appréhensions et un manque de communication. Un projet aussi grand mérite une sensibilisation des populations. Elles peuvent avoir des inquiétudes. Nous demandons que nos jeunes soient formés aux métiers portuaires, comme cela demain, ils pourront s’adapter », avance l’édile.
Des préoccupations légitimes qui ont trouvé une oreille attentive du Directeur général du PAD, Aboubacar Sadikh Bèye. A Ndayanne, il est prévu sur un site de 1200 hectares, la construction d’infrastructures portuaires avec des tirants d’eau de 18 mètres. Le coût du projet dont les travaux démarrent ce 3 janvier 2022, sera de 3000 milliards de francs à la fin de la dernière phase. A terme, le port permettra la création entre 100.000 à 150 000 emplois.
Le Témoin