La Direction générale de la Compagnie d’Electricité du Sénégal S.A. (CES S.A.) est tombée des nues, après avoir constaté des informations totalement erronées, distillées dans la presse, à propos des activités de la centrale énergétique de Bargny. Selon l’administration, les documents susmentionnés relayés dans ces différents articles, met à nu des soubassements éhontés dans le but de nuire à la dynamique de la compagnie, qui s’est résolument engagée à poursuivre la politique de développement du Gouvernement du Sénégal dans le secteur de l'énergie, et à améliorer l'approvisionnement en électricité en termes de fiabilité et de coût.
« Ces articles mentionnent comme sources, les trois Rapports de suivi du Plan d’Action de la Direction (PAD) de la BAD, alors que le dernier en date, celui d’octobre 2022, relevait bien au contraire, des performances significatives du point de vue de la mise en œuvre du PAD. Quant aux deux précédents Rapports de suivi, qui datent de décembre 2019 et d’octobre 2021, ils ont clairement expliqué les raisons de l’absence d’actions notées dans la mise en œuvre du PAD. Comme expliqué dans les articles en question, la Centrale étant en arrêt de juillet 2019 à octobre 2021, il n’était pas, par conséquent, possible de mettre en œuvre les recommandations du PAD. Cependant, dès la reprise des activités d’opération de la Centrale, la CES s’est résolument orientée à la réalisation du PAD selon une approche processuelle », lit-on dans le communiqué de presse.
En outre, l’administration du CES rappelle à juste titre, que sur le volet financier, l’organisation participante audit projet, en l’occurrence la Banque Africaine de Développement (BAD), s'est d’abord assurée que les normes environnementales ont bien été respectées avant de s’engager dans ce projet phare,, ancré dans le Plan Sénégal émergent. Dès lors, l’audit environnemental du transport du charbon a permis de constater que les prescriptions techniques relatives à l'exploitation et à la maintenance des infrastructures de production, de transport et de distribution d'énergie, ont effectivement été remplies en amont.
D’après le quotidien "Le Mandat", la Direction générale de la CES a relevé le fait que les calomniateurs bien doués dans leur jeu favori, ont même perdu le fil du tuyau dans leur tentative de diabolisation, en reconnaissant que « le Rapport d’Octobre 2022 avait relevé que sur un total de 14 recommandations, les dix étaient déjà en cours de réalisation ».
Sur ce dernier point, le communiqué est largement revenu sur les quatre autres actions en cours d’exécution avant l’arrêt de la production en 2019. « Même pour les quatre autres actions, dont la mise en œuvre n’était pas encore enclenchée à l’époque, des progrès notoires ont été réalisés depuis la dernière mission. En guise d’illustration, les actions suivantes ont été réalisées : l’évacuation de l’intégralité des cendres vers Dangote Cement Sénégal et la préparation d’une Convention avec cette dernière pour la reprise des cendres, l’engagement d’une société pour résorber le problème de l’accès à la cheminée en vue de l’étalonnage de l’analyseur de gaz, l’installation des appareils de mesure de la qualité de l’air à l’intérieur de la Centrale et au niveau du village de Minam et la réalisation en cours de l’étude de l’impact sur le milieu marin, dont le lancement a été effectué à la date du 28 décembre 2022, au niveau de la Mairie de Bargny.
Pour ce qui est de l’étude concernant l’impact de l’approvisionnement en eau sur les communautés locales, la pertinence de la réaliser a été remise en cause, dans la mesure où le volume prélevé par la centrale est insignifiant au regard de la quantité consommée par les communautés, bien que la Centrale soit branchée au niveau du réseau de Diamniadio. Les avancées ci-dessus confortent encore une fois la ferme volonté et l’engagement de la CES à œuvrer pour pérenniser la Centrale électrique de Bargny sur une voie de progrès irréversibles en matière de fourniture d’électricité, à moindre coût pour les Sénégalais, d’amélioration continue du système de gestion des impacts environnementaux et de participation active au développement de la zone d’implantation», a estimé la CES.
Poursuivant toujours ses éclairages, la CES évoque d’ailleurs le rapport de suivi du 27 janvier 2020 qui, dans ses conclusions a relevé que les actions enclenchées par la compagnie dans le traitement des plaintes sont inscrites dans une approche participative: « le PEI note que la FMO a déployé des efforts adéquats pour collaborer avec les parties prenantes pertinentes, afin de donner suite aux deux recommandations présentées dans le Rapport d’examen de la conformité ». [NDLR : Panel d’experts indépendants (PEI) ; Société néerlandaise de financement du développement (FMO)].
Pour clore ce chapitre, la Direction de la Compagnie d’Electricité du Sénégal invite les saboteurs ainsi que les mercenaires de la plume, à investir d’autres chantiers, car selon elle, les manipulateurs ont été clairement identifiés et bientôt démasqués au grand jour. « Les tentatives de déstabilisation de CES, qui ne sont pas nouvelles et dont les auteurs, experts en manipulation, sont identifiés, seront vaines, car la CES, les Banques partenaires et la Senelec, poursuivront, sans relâche, leurs efforts pour que la Centrale puisse atteindre bientôt sa vitesse de croisière à tous les niveaux et ainsi, remplir pleinement son rôle important dans le paysage sénégalais de la production d’électricité, au grand bénéfice des populations et de l’économie nationale », a conclu l’administration.
« Ces articles mentionnent comme sources, les trois Rapports de suivi du Plan d’Action de la Direction (PAD) de la BAD, alors que le dernier en date, celui d’octobre 2022, relevait bien au contraire, des performances significatives du point de vue de la mise en œuvre du PAD. Quant aux deux précédents Rapports de suivi, qui datent de décembre 2019 et d’octobre 2021, ils ont clairement expliqué les raisons de l’absence d’actions notées dans la mise en œuvre du PAD. Comme expliqué dans les articles en question, la Centrale étant en arrêt de juillet 2019 à octobre 2021, il n’était pas, par conséquent, possible de mettre en œuvre les recommandations du PAD. Cependant, dès la reprise des activités d’opération de la Centrale, la CES s’est résolument orientée à la réalisation du PAD selon une approche processuelle », lit-on dans le communiqué de presse.
En outre, l’administration du CES rappelle à juste titre, que sur le volet financier, l’organisation participante audit projet, en l’occurrence la Banque Africaine de Développement (BAD), s'est d’abord assurée que les normes environnementales ont bien été respectées avant de s’engager dans ce projet phare,, ancré dans le Plan Sénégal émergent. Dès lors, l’audit environnemental du transport du charbon a permis de constater que les prescriptions techniques relatives à l'exploitation et à la maintenance des infrastructures de production, de transport et de distribution d'énergie, ont effectivement été remplies en amont.
D’après le quotidien "Le Mandat", la Direction générale de la CES a relevé le fait que les calomniateurs bien doués dans leur jeu favori, ont même perdu le fil du tuyau dans leur tentative de diabolisation, en reconnaissant que « le Rapport d’Octobre 2022 avait relevé que sur un total de 14 recommandations, les dix étaient déjà en cours de réalisation ».
Sur ce dernier point, le communiqué est largement revenu sur les quatre autres actions en cours d’exécution avant l’arrêt de la production en 2019. « Même pour les quatre autres actions, dont la mise en œuvre n’était pas encore enclenchée à l’époque, des progrès notoires ont été réalisés depuis la dernière mission. En guise d’illustration, les actions suivantes ont été réalisées : l’évacuation de l’intégralité des cendres vers Dangote Cement Sénégal et la préparation d’une Convention avec cette dernière pour la reprise des cendres, l’engagement d’une société pour résorber le problème de l’accès à la cheminée en vue de l’étalonnage de l’analyseur de gaz, l’installation des appareils de mesure de la qualité de l’air à l’intérieur de la Centrale et au niveau du village de Minam et la réalisation en cours de l’étude de l’impact sur le milieu marin, dont le lancement a été effectué à la date du 28 décembre 2022, au niveau de la Mairie de Bargny.
Pour ce qui est de l’étude concernant l’impact de l’approvisionnement en eau sur les communautés locales, la pertinence de la réaliser a été remise en cause, dans la mesure où le volume prélevé par la centrale est insignifiant au regard de la quantité consommée par les communautés, bien que la Centrale soit branchée au niveau du réseau de Diamniadio. Les avancées ci-dessus confortent encore une fois la ferme volonté et l’engagement de la CES à œuvrer pour pérenniser la Centrale électrique de Bargny sur une voie de progrès irréversibles en matière de fourniture d’électricité, à moindre coût pour les Sénégalais, d’amélioration continue du système de gestion des impacts environnementaux et de participation active au développement de la zone d’implantation», a estimé la CES.
Poursuivant toujours ses éclairages, la CES évoque d’ailleurs le rapport de suivi du 27 janvier 2020 qui, dans ses conclusions a relevé que les actions enclenchées par la compagnie dans le traitement des plaintes sont inscrites dans une approche participative: « le PEI note que la FMO a déployé des efforts adéquats pour collaborer avec les parties prenantes pertinentes, afin de donner suite aux deux recommandations présentées dans le Rapport d’examen de la conformité ». [NDLR : Panel d’experts indépendants (PEI) ; Société néerlandaise de financement du développement (FMO)].
Pour clore ce chapitre, la Direction de la Compagnie d’Electricité du Sénégal invite les saboteurs ainsi que les mercenaires de la plume, à investir d’autres chantiers, car selon elle, les manipulateurs ont été clairement identifiés et bientôt démasqués au grand jour. « Les tentatives de déstabilisation de CES, qui ne sont pas nouvelles et dont les auteurs, experts en manipulation, sont identifiés, seront vaines, car la CES, les Banques partenaires et la Senelec, poursuivront, sans relâche, leurs efforts pour que la Centrale puisse atteindre bientôt sa vitesse de croisière à tous les niveaux et ainsi, remplir pleinement son rôle important dans le paysage sénégalais de la production d’électricité, au grand bénéfice des populations et de l’économie nationale », a conclu l’administration.