Dans les jours les jours à venir, le riz préféré des Sénégalais s’achètera au prix fort de sa valeur sur le marché. Et ce, à cause de la décision prise par New Delhi (capitale de l’Inde) pour «s’assurer de sa propre sécurité alimentaire». Cette décision prise depuis le 20 juillet dernier ne sera pas sans conséquences dans les prochains jours sur l’un de ses principaux clients qu’est le Sénégal.
En effet, il s’agit du riz blanc non basmati, autrement appelé riz indien non parfumé 100% brisé, très prisé par les Sénégalais qui sera disponible sur le marché mais au plus fort de son prix. Interrogé sur cette situation qui n’en est pas une après la spéculation oignon qui continue de grever le budget des ménagères, le Directeur du Commerce intérieur, Ahmadou Bamba Ndao admet non sans rassurer que la denrée sera trouvable sur le marché national mais à un prix plus élevé que d’habitude.
«C’est l’Inde, l’un des plus grands fournisseurs qui a pris la décision de ne plus exporter son riz blanc non basmati communément appelé riz indien non parfumé 100% brisé pour des raisons de sécurité alimentaire intérieur», informe un communiqué. Toutefois précise-t-il, pour rassurer les consommateurs. «La décision n’est pas définitive, mais temporaire. Cet arrêté des autorités indiennes impacte tous les pays du monde. Mais, des discussions se poursuivent pour ouvrir des couloirs à certains pays dont le Sénégal».
Pour le moment rassure le directeur du commerce intérieur, «le Sénégal dispose d’un stock soutenu pour couvrir la demande actuelle». Pour ce qu’il en sera des nouveaux prix de cette spéculation, il donne sa langue au chat, non sans laisser entendre que le gouvernement fera des efforts supplémentaires pour cette denrée, en la subventionnant, non sans ignorer comment et à quel prix.
Pour rappel, l’Inde, le premier exportateur mondial de riz au 1,4 milliard d’habitants fait face à des aléas climatiques qui ont beaucoup impacté sur sa production ces dernières années tout comme le reste de la planète.
Ces derniers mois, le prix du riz a augmenté de 11,5 % en Inde. Le gouvernement Modi veut donc assurer les sources d’approvisionnement pour sa propre population, en relâchant la tension sur les prix. Par truchement, ses principaux clients tels que la Turquie et le Sénégal vont incontestablement se retrouver en difficulté dans les semaines à venir.
En effet, il s’agit du riz blanc non basmati, autrement appelé riz indien non parfumé 100% brisé, très prisé par les Sénégalais qui sera disponible sur le marché mais au plus fort de son prix. Interrogé sur cette situation qui n’en est pas une après la spéculation oignon qui continue de grever le budget des ménagères, le Directeur du Commerce intérieur, Ahmadou Bamba Ndao admet non sans rassurer que la denrée sera trouvable sur le marché national mais à un prix plus élevé que d’habitude.
«C’est l’Inde, l’un des plus grands fournisseurs qui a pris la décision de ne plus exporter son riz blanc non basmati communément appelé riz indien non parfumé 100% brisé pour des raisons de sécurité alimentaire intérieur», informe un communiqué. Toutefois précise-t-il, pour rassurer les consommateurs. «La décision n’est pas définitive, mais temporaire. Cet arrêté des autorités indiennes impacte tous les pays du monde. Mais, des discussions se poursuivent pour ouvrir des couloirs à certains pays dont le Sénégal».
Pour le moment rassure le directeur du commerce intérieur, «le Sénégal dispose d’un stock soutenu pour couvrir la demande actuelle». Pour ce qu’il en sera des nouveaux prix de cette spéculation, il donne sa langue au chat, non sans laisser entendre que le gouvernement fera des efforts supplémentaires pour cette denrée, en la subventionnant, non sans ignorer comment et à quel prix.
Pour rappel, l’Inde, le premier exportateur mondial de riz au 1,4 milliard d’habitants fait face à des aléas climatiques qui ont beaucoup impacté sur sa production ces dernières années tout comme le reste de la planète.
Ces derniers mois, le prix du riz a augmenté de 11,5 % en Inde. Le gouvernement Modi veut donc assurer les sources d’approvisionnement pour sa propre population, en relâchant la tension sur les prix. Par truchement, ses principaux clients tels que la Turquie et le Sénégal vont incontestablement se retrouver en difficulté dans les semaines à venir.