En effet, nous avons noté qu’une grande partie des postes de direction sont allés à des jeunes qui en ont l’expertise.
Nous encourageons vivement le nouveau régime à continuer sur cette lancée de rupture et à veiller à l'adéquation profil/poste, tout en rappelant l'impérieuse nécessité de procéder, à moyen terme, à l'appel à candidature pour certains postes, conformément aux engagements pris et dans un souci d'équité et de justice.
Sur un autre registre, ADHA exprime sa déception sur le maintien de certaines directions, notamment celles en lien avec la jeunesse, alors qu'elles auraient pu être fusionnées, dans un souci de rationalisation des moyens financiers, logistiques et humains.
ADHA a toujours alerté sur le nombre pléthorique de ces directions quasi similaires et œuvrant toutes sur les questions de jeunesse, de formation, de l’employabilité et de l’insertion des jeunes.
ADHA rappelle que toutes ces entités ont déjà montré leurs limites et qu'il est grand temps de les fusionner pour plus d'efficacité.
Ainsi, les problématiques de la santé, de l’éducation et de la formation professionnelle, le chômage endémique des jeunes, la migration irrégulière, la cherté de la vie, la violence, pour ne citer que celles-ci, demeurent parmi les priorités de l’heure.
Par conséquent, l'Action pour les Droits Humains et l’Amitié recommande vivement :
☞ Un regroupement de toutes les directions travaillant sur les questions liées à la jeunesse, à la formation et à l’insertion des jeunes, pour plus d'efficacité dans les résultats et le suivi.
☞De faire injonction aux corps de contrôles de l’État pour un audit holistique de la gestion du Conseil National de la jeunesse dont le mandat a pris fin depuis 2019, ainsi que le Conseil national pour l’insertion des jeunes.
☞ De créer un organe neutre et impersonnel qui aura pour but de faire une interconnexion des regroupements de jeunes afin de les fédérer, de recueillir leurs avis et besoins, et de veiller à la mise en œuvre effective de leurs travaux, conclusions et orientations.
☞D’abroger la loi d’amnistie relative aux infractions commises depuis 2021.
☞D'assurer un travail de contrôle et de suivi-évaluation en détachant une flotte de la Marine nationale pour la surveillance des bateaux de pêche, pour un strict respect des contrats de pêche.
☞De supprimer toute structure budgétivore et inutile créée par l'ancien régime dans le but non avoué de recaser de la clientèle politique.
Pour finir, ADHA encourage la reddition des comptes et demande aux autorités compétentes d'aller jusqu’au bout de toutes les procédures initiées.
M. Adama Mbengue
Président de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié
Nous encourageons vivement le nouveau régime à continuer sur cette lancée de rupture et à veiller à l'adéquation profil/poste, tout en rappelant l'impérieuse nécessité de procéder, à moyen terme, à l'appel à candidature pour certains postes, conformément aux engagements pris et dans un souci d'équité et de justice.
Sur un autre registre, ADHA exprime sa déception sur le maintien de certaines directions, notamment celles en lien avec la jeunesse, alors qu'elles auraient pu être fusionnées, dans un souci de rationalisation des moyens financiers, logistiques et humains.
ADHA a toujours alerté sur le nombre pléthorique de ces directions quasi similaires et œuvrant toutes sur les questions de jeunesse, de formation, de l’employabilité et de l’insertion des jeunes.
ADHA rappelle que toutes ces entités ont déjà montré leurs limites et qu'il est grand temps de les fusionner pour plus d'efficacité.
Ainsi, les problématiques de la santé, de l’éducation et de la formation professionnelle, le chômage endémique des jeunes, la migration irrégulière, la cherté de la vie, la violence, pour ne citer que celles-ci, demeurent parmi les priorités de l’heure.
Par conséquent, l'Action pour les Droits Humains et l’Amitié recommande vivement :
☞ Un regroupement de toutes les directions travaillant sur les questions liées à la jeunesse, à la formation et à l’insertion des jeunes, pour plus d'efficacité dans les résultats et le suivi.
☞De faire injonction aux corps de contrôles de l’État pour un audit holistique de la gestion du Conseil National de la jeunesse dont le mandat a pris fin depuis 2019, ainsi que le Conseil national pour l’insertion des jeunes.
☞ De créer un organe neutre et impersonnel qui aura pour but de faire une interconnexion des regroupements de jeunes afin de les fédérer, de recueillir leurs avis et besoins, et de veiller à la mise en œuvre effective de leurs travaux, conclusions et orientations.
☞D’abroger la loi d’amnistie relative aux infractions commises depuis 2021.
☞D'assurer un travail de contrôle et de suivi-évaluation en détachant une flotte de la Marine nationale pour la surveillance des bateaux de pêche, pour un strict respect des contrats de pêche.
☞De supprimer toute structure budgétivore et inutile créée par l'ancien régime dans le but non avoué de recaser de la clientèle politique.
Pour finir, ADHA encourage la reddition des comptes et demande aux autorités compétentes d'aller jusqu’au bout de toutes les procédures initiées.
M. Adama Mbengue
Président de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié