« Ces auxiliaires de police, anciens militaires se sont vus empêcher de faire un concours ouvert à tous les sénégalais qui remplissent les conditions. Ce qui constitue sans nul doute une violation flagrante du principe d’égal accès à la fonction publique et une rupture du principe d’égalité devant les services publics », dénoncent ces auxiliaires.
La raison évoquée par les autorités est que, s’ils partent tous faire le concours, les rangs risquent de se dégarnir. Sachant que cette raison ne serait pas recevable, elles auraient sorti des fiches d’engagement pour les obliger à signer pour cinq années dans un corps sans texte appelé Policier adjoint volontaire alors qu’ils étaient recrutés comme auxiliaires de police.
« Auxiliaires ou policiers adjoints volontaires, ce n’est pas l’appellation qui importe. Mais, le fait qu’on leur refuse l’avancement pendant cinq ans est pour nous incompréhensible et inadmissible », a ajouté un interlocuteur d’Emedia.
D’après lui, au même moment où ils sont bloqués dans ce statut, leurs classes libérées de l’armée en même temps qu’eux font le concours et les rejoindront à la police pour être leurs chefs.
Ainsi, une source policière sous le couvert de l’anonymat, informe qu’en voulant élargir ses troupes, la police a recruté 3000 policiers auxiliaires en trois (3) cohortes de mille (1000). « Ces derniers ont fini leur formation. Mais entre temps, le concours des agents de la police est ouvert et parmi ces 3000 policiers auxiliaires certains d’entre eux, veulent encore faire ledit concours. Ce qui n’est pas possible.
Parce qu’il existe un arrêté ministériel qui leur interdit pendant leur formation, d’une durée de 2 ans, de faire un autre concours », explique la source.
Et pour leurs classes de l’armée, elle précise qu’ils ne sont pas dans la même situation.
La raison évoquée par les autorités est que, s’ils partent tous faire le concours, les rangs risquent de se dégarnir. Sachant que cette raison ne serait pas recevable, elles auraient sorti des fiches d’engagement pour les obliger à signer pour cinq années dans un corps sans texte appelé Policier adjoint volontaire alors qu’ils étaient recrutés comme auxiliaires de police.
« Auxiliaires ou policiers adjoints volontaires, ce n’est pas l’appellation qui importe. Mais, le fait qu’on leur refuse l’avancement pendant cinq ans est pour nous incompréhensible et inadmissible », a ajouté un interlocuteur d’Emedia.
D’après lui, au même moment où ils sont bloqués dans ce statut, leurs classes libérées de l’armée en même temps qu’eux font le concours et les rejoindront à la police pour être leurs chefs.
Ainsi, une source policière sous le couvert de l’anonymat, informe qu’en voulant élargir ses troupes, la police a recruté 3000 policiers auxiliaires en trois (3) cohortes de mille (1000). « Ces derniers ont fini leur formation. Mais entre temps, le concours des agents de la police est ouvert et parmi ces 3000 policiers auxiliaires certains d’entre eux, veulent encore faire ledit concours. Ce qui n’est pas possible.
Parce qu’il existe un arrêté ministériel qui leur interdit pendant leur formation, d’une durée de 2 ans, de faire un autre concours », explique la source.
Et pour leurs classes de l’armée, elle précise qu’ils ne sont pas dans la même situation.