Dans un communiqué reçu à EnQuête, il est écrit “entre juillet 2023 où l'opérateur Sonatel a acquis ses droits de déploiement et d’exploitation de la technologie mobile de 5eme Génération à 34,5 milliards de FCFA et le mois de décembre 2023 où son concurrent Free décide d’acquérir les mêmes droits pour seulement 13,5 milliards de FCFA.
Cette fois ci, le Restic voudrait des explications sur les règles et conditions d’attribution de la 5G, conformément à notre code des télécommunication et des règles d’harmonisation de la concurrence dans l’espace Uemoa qui garantissent une concurrence saine et effective entre opérateurs”.
Et, a ajouté le Restic, “s’il est vrai que le déploiement des réseaux de communication avancée comme la 5G suppose un mix de fréquences : basse, moyenne et haute à savoir les trois plages de fréquences clés pour proposer une large couverture et couvrir tous les cas d’utilisation, le Restic estime que mêmes ce scénario ne peut expliquer cette différence de 20 milliards FCFA entre les prix d’acquisition des deux opérateurs. Surtout dans un contexte où la couverture globale du pays en fonctionnalités 3G ou 4G n’est pas encore effective”.
Le Restic pense qu’aujourd’hui “le régulateur et l’Etat doivent ensemble doter le Sénégal d’une feuille de route sur les fréquences et l’utilisation optimale des ressources spectrales une fois qu’une restructuration effective et une libération des fréquences auront été faites afin de garantir une valorisation et une optimisation du spectre afin de promouvoir une économie numérique et digitale effective pour un secteur créateur de richesse et d’emplois. Ce qui n’est pas le cas dans le contexte du Sénégal”.
Dans ce sens, le Restic, “encourage les trois opérateurs à une meilleure observance des pratiques saines et transparentes qui garantissent une concurrence saine et dynamique dans le secteur.
Le Restic n’exclut pas de saisir l’Uemoa pour cette distorsion dans les prix et conditions d’attribution, afin de garantir une concurrence effective entre tous les acteurs et opérateurs conformément à la Directive n° 01/ 2006/CM/Uemoa relative à l'harmonisation des politiques de contrôle et de régulation du secteur des télécommunications dans l’espace Uemoa”, lit-on dans la note.
Aussi, “pour le bien des consommateurs et usagers sénégalais, le Restic invite le mouvement consumériste à plus de vigilance”.
Cette fois ci, le Restic voudrait des explications sur les règles et conditions d’attribution de la 5G, conformément à notre code des télécommunication et des règles d’harmonisation de la concurrence dans l’espace Uemoa qui garantissent une concurrence saine et effective entre opérateurs”.
Et, a ajouté le Restic, “s’il est vrai que le déploiement des réseaux de communication avancée comme la 5G suppose un mix de fréquences : basse, moyenne et haute à savoir les trois plages de fréquences clés pour proposer une large couverture et couvrir tous les cas d’utilisation, le Restic estime que mêmes ce scénario ne peut expliquer cette différence de 20 milliards FCFA entre les prix d’acquisition des deux opérateurs. Surtout dans un contexte où la couverture globale du pays en fonctionnalités 3G ou 4G n’est pas encore effective”.
Le Restic pense qu’aujourd’hui “le régulateur et l’Etat doivent ensemble doter le Sénégal d’une feuille de route sur les fréquences et l’utilisation optimale des ressources spectrales une fois qu’une restructuration effective et une libération des fréquences auront été faites afin de garantir une valorisation et une optimisation du spectre afin de promouvoir une économie numérique et digitale effective pour un secteur créateur de richesse et d’emplois. Ce qui n’est pas le cas dans le contexte du Sénégal”.
Dans ce sens, le Restic, “encourage les trois opérateurs à une meilleure observance des pratiques saines et transparentes qui garantissent une concurrence saine et dynamique dans le secteur.
Le Restic n’exclut pas de saisir l’Uemoa pour cette distorsion dans les prix et conditions d’attribution, afin de garantir une concurrence effective entre tous les acteurs et opérateurs conformément à la Directive n° 01/ 2006/CM/Uemoa relative à l'harmonisation des politiques de contrôle et de régulation du secteur des télécommunications dans l’espace Uemoa”, lit-on dans la note.
Aussi, “pour le bien des consommateurs et usagers sénégalais, le Restic invite le mouvement consumériste à plus de vigilance”.