Après avoir tout donné à ces derniers, en retour de souligner, qu’ils ont été sacrifiés et victimes de leur propre engagement politique à l’endroit de ces derniers. « C’est pourquoi, en tant que jeunes de ce terroir, une zone riche en potentialités économiques et agricoles, nous attendons de nos autorités étatiques un appui dans le cadre des financements et la formation », explique Iba Camara, un des responsables des jeunes de cette localité.
Ces insulaires qui ont beaucoup de projets susceptibles de relever les défis de développement dans cette contrée, indiquent qu’il suffit juste, d’une petite volonté de politiques adéquates de l’Etat pour les accompagner. Lesdits propos ont été tenus lors d’une grande assemblée générale. Une rencontre au cours de laquelle, de nombreux jeunes présents sont montés au créneau pour fustiger l’attitude de certains de leurs leaders, qui selon eux, n’ont qu’un seul et unique objectif. C’est-à -dire de gérer tout simplement leur carrière politique.
Pour I. Camara responsable des jeunes de BBY. « Il est maintenant temps de changer de vision et de démarche. » Une nouvelle donne positive qui sera uniquement centrée sur le développement de leur localité peste Abou Diacko habitant de Saldé Tébégout. Poursuivant Diacko d’expliquer, que leur localité regorge de jeunes étudiants bacheliers, qui ont leurs licences, et leurs masters et que malheureusement ne travaillent pas. Ils passent la longueur des journées à ne faire que du thé dans les places publiques du village. Alors qu’ils auraient dû bénéficier du travail pour aujourd’hui aider à la survie de leurs familles.
Aucun fils ou fille de la localité n’a pu aujourd’hui bénéficier d’un quelconque financement issu des agences comme la Der et les autres programmes de développement s’offusque Aboubacry M’Bégniga jeune de la localité. Et pourtant, nous entendons chaque jour que Dieu fait, des financements octroyés aux jeunes dans d’autres régions. « Et, c’est comme si nous ne faisons pas partis des jeunes de ce pays », regrette M’Bégniga qui pointe un doigt accusateur aux responsables politiques du village. Des responsables qu’ils ne voient que pendant les échéances électorales, qui leur promettent monts et merveilles. « Mais, des engagements qui ne sont jamais tenus », s’indignent ils. Selon eux, il n’est plus question d’être derrière un leader politique.
Composés d’agriculteurs d’éleveurs et de pécheurs, ces insulaires disent être prêts à travailler dans n’importe quel secteur de développement, pour participer à l’atteindre de l’autosuffisance alimentaire. « Nous sommes tous nés ici, et personne ne peut nous enseigner comment faut-il travailler la terre pour y réussir ? Ce qu’il nous faut pour que la zone devienne le grenier du Sénégal, c’est juste de nous mettre dans les conditions optimales de réussite. Ce qui va régler définitivement la lancinante question du sous-emploi et surtout maintenir les populations dans la Zone. Donc, loin de l’exode rural », renseigne Samboy Diop un des responsables du comité de gestion du forage.
Issus de plusieurs chapelles politiques et acteurs de développement à la base, ces jeunes se veulent désormais clairs dans leurs nouvelles options. Ils n’accepteront plus d’être les agneaux du sacrifice et ont décidé de ne soutenir, seules des personnes de bonne foi, et décidées à œuvrer pour le rayonnement de leur terroir. Un signal fort a été lancé aux autorités étatiques, pour leur accès à la terre, aux financements, aux matériels agricoles entre autres.
Ces jeunes de regretter que leurs leaders politiques de Saldé ont beaucoup failli à leurs missions. « Nous leur avons tout donné. Mais, en retour nous n’avons rien vu. Et comble de désespoir, nos populations continuent toujours de vivre dans la précarité totale dans une zone qui pourtant, regorgeant d’importantes ressources humaines, économiques et agricoles », se plaignent-ils.
Abou KANE
Ces insulaires qui ont beaucoup de projets susceptibles de relever les défis de développement dans cette contrée, indiquent qu’il suffit juste, d’une petite volonté de politiques adéquates de l’Etat pour les accompagner. Lesdits propos ont été tenus lors d’une grande assemblée générale. Une rencontre au cours de laquelle, de nombreux jeunes présents sont montés au créneau pour fustiger l’attitude de certains de leurs leaders, qui selon eux, n’ont qu’un seul et unique objectif. C’est-à -dire de gérer tout simplement leur carrière politique.
Pour I. Camara responsable des jeunes de BBY. « Il est maintenant temps de changer de vision et de démarche. » Une nouvelle donne positive qui sera uniquement centrée sur le développement de leur localité peste Abou Diacko habitant de Saldé Tébégout. Poursuivant Diacko d’expliquer, que leur localité regorge de jeunes étudiants bacheliers, qui ont leurs licences, et leurs masters et que malheureusement ne travaillent pas. Ils passent la longueur des journées à ne faire que du thé dans les places publiques du village. Alors qu’ils auraient dû bénéficier du travail pour aujourd’hui aider à la survie de leurs familles.
Aucun fils ou fille de la localité n’a pu aujourd’hui bénéficier d’un quelconque financement issu des agences comme la Der et les autres programmes de développement s’offusque Aboubacry M’Bégniga jeune de la localité. Et pourtant, nous entendons chaque jour que Dieu fait, des financements octroyés aux jeunes dans d’autres régions. « Et, c’est comme si nous ne faisons pas partis des jeunes de ce pays », regrette M’Bégniga qui pointe un doigt accusateur aux responsables politiques du village. Des responsables qu’ils ne voient que pendant les échéances électorales, qui leur promettent monts et merveilles. « Mais, des engagements qui ne sont jamais tenus », s’indignent ils. Selon eux, il n’est plus question d’être derrière un leader politique.
Composés d’agriculteurs d’éleveurs et de pécheurs, ces insulaires disent être prêts à travailler dans n’importe quel secteur de développement, pour participer à l’atteindre de l’autosuffisance alimentaire. « Nous sommes tous nés ici, et personne ne peut nous enseigner comment faut-il travailler la terre pour y réussir ? Ce qu’il nous faut pour que la zone devienne le grenier du Sénégal, c’est juste de nous mettre dans les conditions optimales de réussite. Ce qui va régler définitivement la lancinante question du sous-emploi et surtout maintenir les populations dans la Zone. Donc, loin de l’exode rural », renseigne Samboy Diop un des responsables du comité de gestion du forage.
Issus de plusieurs chapelles politiques et acteurs de développement à la base, ces jeunes se veulent désormais clairs dans leurs nouvelles options. Ils n’accepteront plus d’être les agneaux du sacrifice et ont décidé de ne soutenir, seules des personnes de bonne foi, et décidées à œuvrer pour le rayonnement de leur terroir. Un signal fort a été lancé aux autorités étatiques, pour leur accès à la terre, aux financements, aux matériels agricoles entre autres.
Ces jeunes de regretter que leurs leaders politiques de Saldé ont beaucoup failli à leurs missions. « Nous leur avons tout donné. Mais, en retour nous n’avons rien vu. Et comble de désespoir, nos populations continuent toujours de vivre dans la précarité totale dans une zone qui pourtant, regorgeant d’importantes ressources humaines, économiques et agricoles », se plaignent-ils.
Abou KANE